Spleen de baudelaire.
Baudelaire essaie de nous dire qu'elle image il a de lui même.. Il cherche à communiquer au lecteur son malaise.
Il veut nous dire que dans sa tête c'est un bazar, son cerveau est encombré d'une multitude de souvenirs.
Les modes représentent des objets qui ont été à la mode mais ne le sont plus.
Il n'y a pas que les personnes qui sont sur le tableau qui respirent.
Les mauvaises journées sont les plus longues. L'ennui nous donne l'impression d'être immortel car le temps ne passe pas.
Le granit est utilisé pour faire les tombes.
Analyse stylistique:
Ce qui crée le rythme d'un vers, sont les accents toniques. Ils se trouvent toujours à la fin d'un groupe de syllabes (longueur maximale, un groupe de 6 syllabes)
1er vers: 1-5-4-2 (syllabes)
2ème vers: 3-3-3-3
Les « e » en fin de mots ne se prononcent que s'il y'a une consonne après.
Avec tous les emplois du verbe être il a l'air à la recherche de qui il est, son identité. Il cherche à se cerner, se définir.
Différent du récit d'une crise de spleen.
La réalité a l'air supérieure à une imagination débridée. Parcequ'il s'ennuie de sa vie.
Le héros romantique (Romantisme – Début du 19ème siècle)
Quelqu'un qui a l'impression d'être étouffé sur Terre.
Désir d'évasion.
Baudelaire laisse cette impression de héros romantique. - Le 1er vers pourrait laisser croire à une vie bien remplie « triste cerveau », renverse tout
Triste devant un nom signifie peu recommandable, inquiétant.
Baudelaire a une idée de lui même négative et une partie de lui inquiétante. - Le 2ème vers: un encombrement, le vers explose. De même le tiroir déborde d'objets, de même le vers déborde de mots.
Dans ce cas les contraintes poétiques sont un avantage pour Baudelaire.
Baudelaire se prend pour une pièce: « je suis un boudoir »
L'auteur fait passer « un supplice sans fin »,