Synthèse

L’objet est à priori quelque chose de non vivant. Or la femme peut souvent être comparée à un objet de par certains métiers qu’elle pratique, jouets qui la représentent,etc… On se demande donc quelles sont les conséquences de la réification de la femme. Nous verrons dans un premier temps quelles sont les caractéristiques de la femme objet, puis quelles pourrait être les conséquences pour la femme.

Ces caractéristiques commune que peut avoir la femme et l’objet, la rend iréelle à travers des normes abusives. Florence Montreynaud, dans son essai intitulé l’aventure des femmes, Xxe-XXIe siècle, nous parle de la poupée Barbie, embleme de la société de consommation. Ces poupées que les enfants, et particulièrement les filles, vont choyer, les habiller, etc… représentent des femmes adultes avec des normes abusives, telles que des jambes longues, une taille très (trop) fine... Sophie Cheval dans son essai intitulé, Belle, autrement ! Explique que ces abus de normes créent des déviances comme l’anorexie.
De plus, il y a un enjeu économique, la femme devient un objet commercial, peut servir de technique de vente. Gillebert Laffaille dans sa chanson montre bien que la femme est modifiée pour faire vendre un produit. Elle est une « étude de marché ». Peter Klasen, dans sa peinture intitulée « Femme objet », associe la feme à la voiture étant donné que celle-ci fait vendre les voitures.
Avec ces normes abusives et cet enjeu économique les femmes n’ont plus de libre arbitre, elles perdent leur liberté. Dans la chanson de Gillebert Laffaille, il explique que les employeurs de mannequin en font ce qu’ils veulent. Sophie Cheval nous montre dans son essai que, pour elle la société pèse sur les femmes qui perdent une part de leur liberté. Elles sont conditionnées.
Pour conclure, on remarque que dans cette société, la femme peut parfois prendre des caractéristique de femme-objet à travers certains métiers, les pubs, etc… Leur parcours est parfois déjà tout tracé par ce