Synthèse :

Grâce à l'étude de ces documents j'ai pu prouver que la participation des femmes à la vie politique croît (elles sont ministres, parlementaires, élues locales). Les femmes en France ne sont pourtant encore que des nomades, des passagères de la politique. Leur participation est faible, leur rôle en politique est rarement de premier plan.
Ainsi je peux conclure en répondant à la problématique de la façon suivante : Les femmes sont électrices et éligibles. On est pourtant encore loin de l’égalité, comme l’ont encore démontré les récentes élections régionales françaises. La féminisation des gouvernements est un phénomène extrêmement récent et très visible. Certes les femmes politiques on su prouver leurs capacités égales aux hommes mais ce phénomène est parfois surestimé (on ne compte qu’une dizaine de femmes chefs d’États ou de gouvernements dans le monde). Aujourd'hui encore, les femmes doivent être exemplaires, bien meilleures que les hommes. Une double exigence pèse sur elles. Si des différences historiques, culturelles, politiques sont bien mises en évidence, d’un exemple national à l’autre, les ressemblances sont aussi frappantes, l’exclusion des femmes du pouvoir et les progrès récents de leur intégration s’opérant à l’échelle mondiale.
J’ai envie de conclure en disant que les femmes en politique m’apparaissent comme différentes et porteuse d’espoir au milieu de tout ces hommes d’un certains âge, qui occupent le paysage depuis 40 ans. Il y a aussi l’envie de faire un pied de nez à une classe politique que je juge