Synthèse sur le rêve
L'étude de ce corpus porte sur le rêve collectif, c'est-à-dire l'utopie. Parmi ces textes, on retrouve tout d'abord deux documents datant de 2009. Le premier est un roman historique, La fin de la Première Mondialisation, écrit par Jacques De Saint Victor puis un article de presse paru dans le Monde Diplomatique, écrit par Igniacio Ramonet, Résister, c’est rêver qu'un autre monde est possible. On a ensuite, un essai de Jean Cayrol intitulé Les Rêves Concentrationnaires, paru en 1950 et enfin un extrait du discours de 1963 de Marin Luther King, I Have A Dream. L'ensemble de ce corpus apporte différentes vision que ça soit négatives ou positives de l'utopie.
Nous nous demanderons, quel est l'utilité de cette utopie ? Peut- elle vraiment changer les choses ? Quelles sont ses limites ? Et peut-elle apporter atteinte au rêve individuel ?
Tout d'abord, dans un premier temps nous verrons les objectifs de cette utopie et son fonctionnement pour faire avancer les choses puis nous verrons que celle-ci est limitée et peut devenir un obstacle au rêve individuel.
Pour commencer l'utopie, c'est un projet d'organisation politique ou idéal qui ne tient pas compte des contraintes de la réalité. C'est souvent un projet ou une idée qui apparaît comme irréalisable, illusoire ou bien chimère.
Elle a différents objectifs, tout d'abord elle permet de prendre du recul, c'est-à-dire de prendre ses distances par rapport au présent pour mieux le