tavail exterieur
Les parents de la jeune fille sont sensibles à cette démarche, mais certains faits me font pensez que je dois reposer un cadre quant au partenariat entre la famille et notre accompagnement.
Depuis des nombreuses années, les parents ont toujours exprimé leurs difficultés devant la prise en charge d’Elodie à la maison. En relisant les comptes rendus des collègues précédents, les parents ont été conseillés et orientés, toujours dans une concertation commune pour le bienêtre de la jeune fille. Le discours des parents et toujours revendicatif et toujours dans le « faire valoir ses droits ».
La famille s’implique pour accéder à des aides, droit à la scolarisation, droit à l’aménagement de leur maison, droit à certains renouvèlements de matériels spécifiques, mais quand les choses se mettent en place, leurs partenariats s’arrêtent, ils ne s’impliquent pas dans les réunions de scolarisation, n’est plus partenaire de l‘accompagnement de la jeune fille.
Je considère que cela est tout à fait légitime d’exprimer le droit à accéder à un mieux-être pour leur fille, mais la difficulté que je rencontre c’est l’après, quand ils doivent être présent travailler en partenariat avec moi, il se désengage ne réponde pas aux sollicitations mises en place pour des ateliers informatiques qui pourrait être repris à la maison ou démonstration de support d’aide à la communication mis en place dans notre service.
J’ai quelques difficultés à mobiliser cette famille , je pense en concertation avec l’équipe proposer plus de moments de rencontre et plus d’échanges téléphoniques afin de parler de ce que nous mettons en place dans le service et rappeler , notre présence quand ils rencontrent des difficultés.
Je pense que d’avoir mis en place le mode de garde parenthèse à fais avancer un peu les choses.
J’ai dû quand même rappeler les règles du dispositif à la famille, car ce dispositif mis en place pour