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Un certain Roger Toupin, directeur de projet à la firme General Instrument, devenait en charge de cette entreprise qui conçoit et fabrique des systèmes électroniques de navigations, suite au départ de sa patronne Murielle pour un voyage d’affaire. Cette organisation avait du mal a trouvé des ingénieurs qualifiés en raison de leur emplacement qui se situait à Montréal où on retrouvait énormément de concurrence et un coût de la vie élevé pour y habiter. Une des employés soit Danielle Dusseault, jeune ingénieure qui avait été embauché à la fin de son université venait de remettre sa lettre de démission. Ceci venait du fait qu’elle n’avait pas été payée pour ses heures supplémentaires lors de sa dernière paye. Cela, apparemment, arrivait souvent, car les superviseurs étaient souvent reprochés de soumettre un nombre trop élevé de demande de paiement d’heures supplémentaires, donc ceux-ci les étalaient sur une longue période. La jeune ingénieure avait donc fait appel à la patronne puisqu’elle lui avait dit qu’elle allait être là si celle-ci avait un problème, malheureusement Murielle était en voyage d’affaire et n’a pu être à la rencontre qu’elle avait céduler. Alors, Danielle décida d’aller rédiger sa lettre de démission. Pendant ce temps, Roger se demandait quoi faire devant cette situation, il se rappelait que sa patronne l’avait averti au sujet d’engagé des jeunes sortant de l’université, car ils vivent au dessus de leurs moyens et alors ils comptent beaucoup sur leur primes supplémentaires. Celui-ci pensait qu’une solution serait d’accorder un prêt temporaire à la jeune ingénieure pour la garder. Pendant, que Roger pensa à tous cela Danielle arriva et voulait être engagé en tant qu’ingénieurs temporaire puisqu’elle recevrait 20% de salaire de plus, mais sans les avantages sinon elle accepterait une autre offre d’emploi dans sa ville natale. Roger compara cette demande a du chantage et se demanda alors quoi faire ?
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