texte centenaire de la guerre
Je voulais vous dire pardon, pardon de vous avoir fait du mal, j’ai appris que maman était maintenant au ciel souvent quand je dors je pense à elle. Je n’ai pas beaucoup de temps comme d’habitude on nous laisse quelque minute pour écrire une lettre à nos proches dans le cas ou on ne revienne plus.
Papa j’ai très peur on va nous envoyer encore une fois à l’abattoir, ici la guerre fait rage les tranché sont gazés de toute part même l’abri est contaminé. Notre commandants nous avait promis une denrée très rare qui est la nationalité française et un bon rendement de plus j’ai droits à des bonus de 200francs, pour volontariat. Papa oh ! Pilier de ma naissance si tu voyais ce pays qui est la France il t’en tomberait les mains. Je me débrouiller tant bien que mal pour que je puisse te faire venir ici au près de moi. En ce moment d’où je suis on entend des bruits sourds de bombardements et je sais que nos frère meurt par millier dans ces boyaux dépourvu de toute chance de survie. J’espère venir te chercher bientôt mais ici un bruit court sur notre régiments il paraît que on nous aurait raconté des mensonges sur la récompense de la nationalité française, ils disent que l’ordre venait dans haut, il aurait fait sa pour nous appâter on avait donné aussi l’ordre d’exécuter certains soldats noir en attribuant ce massacre au tranchée adverse pour que nous autres puisses être révolté et déterminer à se battre jusqu’au bout. En apprenant cela je n’ai pas prêté beaucoup d’attention a ce que ce type nous racontait je me disais que c’était encore de ces ragots pour qu’on laisse le chemin libre à la récompense. Mais à quelque instant avant de parti aux champs de bataille j’y pense beaucoup. Surtout qu’un camarade de régiments m’a raconté qu’il a surpris son chefs entrain de forcer quelqu’un à rentré dans un fossé donc cela ma mis la puce à l’oreille. Je conte rester dans l’armée