Thoma more l'utopie
Les figures de styles présentes dans les trois textes sont faite pour attirer l'attention du lecteur et à le convaincre ou le persuader. Dans le texte B et C on retrouvent des hyperbole (texte B : l.3 « Le portail était de deux cent vingt pieds de haut et de cent de larges » ; texte C : l.1 « En cinq ans, dix huit villages d'ouvrier »). L'hyperbole du texte B montre la beauté de la ville alors que celle du texte C montre l'immensité de la ville. Les trois textes montre une énumération qui ne s’interprète différemment d'un texte à l'autre (texte A : l.32 « s'affranchir de la servitude du corps, cultiver librement son esprit, développer ses facultés intellectuelles » ; texte B : l.18 « les fontaines d'eau pure, les fontaines d'eau rose, celle de liqueurs de canne à sucre » ; texte C : l5 à 10 « une masse sombre, colossale, étrange, une agglomération de bâtiments réguliers percés de fenêtres symétriques, couverts de toits rouge... »). Celle du texte A nous montre que la ville est studieuse alors que celle du texte B est faite pour montrer le raffinement du pays qui et l'opposé de l'énumération du texte C qui elle montre une ville métallurgique et effrayante.
Ces trois textes sont des descriptions de lieux. Le texte A rien qu'en lisant le titre peut nous montrer que c'est de l'imagination (L'Utopie). Les représentations des villes dans le texte A et C montre que ce sont des ville où l'on vie pour le travaille ( Texte A : l.6 à 9 « L'on répare à