Théâtre de rupture
Pour un oui pour ou pour un non. Deux amis se retrouvent après un si long séparation, provoquée mystérieusement par une phrase malheureuse de l’un des deux (H1) « c’est bien, ça ». L’ami est allé faire quelques démarches sur sa situation. Il était préjugé comme celui qui rompt pour un oui ou pour un non.
- C’est un théâtre de parole car on voit que toute l’action est concentrée uniquement sur le développement du discours des personnages. Ici, le corps ne joue pas un rôle important bien que dans quelques moments on voit des actions physiques qui peuvent nous donner des rapports essentiels. Le langage joue le rôle de détonateur.
- Rupture avec le théâtre traditionnel : Nathalie Sarraute ne retient pas seulement un suspens du dialogue, mais elle focalise l’action sur l’immobilisation du discours.
- Discours : l’action se concentre autour d’une simple formule dont l’auteur veut montrer, non seulement ce qu’elle suppose signifier, mais ce qu’elle suggère de façon évidente. C’est-à-dire, aller au plus fond sens de la parole, en partant de la tonalité
- Rire : ce n’est pas le but de l’écrivain, mais en tout cas on peut voir quelques moments qui peuvent provoquer le rire dans le lecteur. Ces sont les moments d’exaspération des personnages, l’insistance dans la tonalité et la forme d’élaborer le discours de la phrase dans laquelle se concentre l’action.
- Tropisme : des mouvements internes ou des impressions vivantes que chaque personne peut avoir dans soi-même.
Dans cette œuvre on peut voir reflété la disproportion entre quelque chose anodine (insignifiante) et la commotion qu’elle peut déchaîner. La vulnérabilité ou la débilité des relations amoureuses se reflètent dans le mal provoqué par bricoles et malentendus.
Dis à ma fille que je pars en voyage.
Caroline rentre en prison et va partager cellule avec une femme qui a déjà passé sept ans, elle est d’une classe sociale plus baisse, le prolétariat. Au débout elles ont des chocs, mais