Torture voltaire
-la torture était une pratique judiciaire courante
-pour le bien de l’âme, car sauver l’âme était plus important que sauver le cors
-le bourreau devait officier sans haine: impossible. Aucune religion ne peut justifier la torture
-la torture entre alors dans un contexte général
I La question dans les différents contextes
1.1 Vocabulaire
-différentes dénominations : Gde torture (fractures), petite torture (sans fractures), l’expérience, la question
-chirurgien : personne assisatant aux tortures, médecin de l’époque qui avait une mauvaise considération : chargé de la santé
-au XVIII achat des droits pour officer (Ancien Régime) : armée, la justice et Torture, pratique ouverte à tout le monde du moment que les moyens financiers suivent.
1.2 Contexte
Historique : comparaison avec les romains (sénateurs et conseiller de la Tournelle):
-opposition d’une civilisation remarquable - à un magistrat d’une chambre criminelle.
-le conseiller est associé à « hâves », « pâles », « cachot » (version dévalorisée de la prison) le mot « plaisir » (4) forme une antithèse avec les autres qualificatifs : sadisme.
Vie Privée : -la torture entre dans les moeurs : su jet de discussion banal : pendant les repas.
-problème de la vénalité des charges : achat de la charge :affaiblissement de la fonction : « conter à dîner ».
-acceptation tranquille de la société, participation avec enthousiasme, même : jets d’objets sur condamné
-phénomène qui fait passer l’information de la justice à la société, communication complète et régulière entre les deux.
-le début de la révolte et de l’indignation a débuté avec l’affaire du chevalier de la Barre.
Politique : -Canada pris par les Anglais : ironie, forme anecdotique, disproportion dans les propos
Disproportion : dans les fautes en accord avec les sentiments : qualités/ étouerderies de la jeunesse (et non pas les crimes!!!)
-mains coupées pour un chapeau sur la tête non abaissé devant une