Travail sur M non
1. Étape 1. Formulation de la question : Qu’est-ce que la vertu ?
Étape 2. Profession d’ignorance de Socrate : Nous pouvons observer cette étape avec cette citation de Socrate : « Eh, bien moi aussi, Ménon, je suis dans le même cas. En cette matière, je partage la misère de mes concitoyens, et je me blâme moi-même de ne rien savoir, rien du tout, de la vertu».
Étape 3.1 Productions d’une réponse par l’interlocuteur : Cette réplique de Ménon est la première de 3 hypothèses de la définition de la vertu : « Il est facile de répondre que la vertu d’un homme consiste à être capable d’agir dans les affaires de sa cité et, grâce à cette activité, de faire du bien à ses amis, du mal à ses ennemis, tout en se préservant soi-même de rien subir de mal. […] La femme doit bien gérer sa maison, veiller à sin intérieur, le maintenir en bon état et obéir à son mari. Il y a aussi une vertu différente pour l’enfant, pour la fille et pour le garçon, une vertu pour l’homme âgé, qu’il soit libre, si tu veux, ou esclave, si tu préfères.».
Étape 4.1 l’examen critique et la réfutation de la réponse : Socrate réfute la définition de Ménon en disant : « Même s’il y en a beaucoup et de toutes sortes, elles possèdent du moins une seule forme caractéristique identique chez toutes sans exception, qui fait d’elles des vertus».
Étape 3.2 Production d’une réponse par l’interlocuteur : Cette réplique de Ménon est la deuxième de 3 hypothèses de la définition de la vertu : « Que peut-elle être sinon la capacité de commander aux hommes? Puisque tu cherches vraiment quelque chose d’unique qui s’applique en tout cas».
Étape 4.2 l’examen critique et la réfutation de la réponse : Socrate réfute la deuxième définition de Ménon en disant : « À coup sûr oui, c’est bien ce que je cherche. Mais est-ce la même vertu, Ménon, pour un enfant et pour un esclave? Est-ce la capacité. De commander à son maître? Je veux dire, celui qui commande, crois-tu qu’il soit encore un esclave?
Étape 3.3 :