Une gitane dans le domaine de l'énergie Pilar Heredia est la première femme Roms d'accéder à un bureau d'entreprise au sein du gouvernement Monica C. BELAZ - Madrid - 06/04/2006 «Les Roms ont été jusqu'ici un peuple silencieux, bâillonnés, qui n'a jamais été autorisé à parler." Qui donc sera dorénavant exprimé une de ses voix publique. Pilar Heredia, 41 ans, sera la femme tsigane d'abord tenir un bâtiment dans le gouvernement, jeudi dernier, a été embauché comme consultant à l'Institut pour les femmes, un organisme relevant du ministère de Travail et des Affaires sociales. Elle abordera en particulier les problèmes des minorités ethniques. En Espagne, il ya 450 000 Tsiganes (1% de la population, environ), mais sont à peine représentés dans les institutions. En Andalousie, où presque la moitié, aucun membre de ce groupe ethnique. «Avec chuflas et rechufla" est comme Heredia estime que cela est encore de leur culture et leurs traditions. "Pour les athées ne peuvent pas être intéressé dans les processions, mais personne ne rit à eux», il réfléchit. "Au contraire, nous nous sentons tous le droit de se moquer de n'importe lequel de nos coutumes." Protestation pas rire seulement, mais, surtout, le mépris. «Nous sommes considérés comme des criminels, les habitants des bidonvilles, sans instruction, cinglés», se plaint-il. "L'ignorance est le problème majeur affectant notre peuple." Chargé, en partie, aux médias. «Quand un crime tsigane dans les nouvelles beaucoup d'emphase sur elle, quand il n'est pas pertinent à l'information», dit-il. »Et la conséquence est une augmentation du racisme, de la société que nous criminaliser nous tous."
• "Jusqu'ici, nous avons été un peuple silencieux, bâillonnés, qui n'a pas été autorisé à parler" Cette Tolède soulevées dans Getafe (Madrid) a passé de nombreuses années la lutte pour les Tsiganes d'être «pleinement espagnol", dit-elle. Il est apparu sur les listes du PSOE aux élections régionales de Madrid