Une place à prendre analyse

564 mots 3 pages
Une place à prendre, roman de J. K. Rowling

Vous avez remarqué ?

placeàprendre

Je n’étais pas bien présente sur la toile toute la journée d’hier. Car je l’avoue, j’étais plongée dans la lecture du premier roman « pour adultes » de la créatrice d’Harry Potter. Sans aucun a priori, sans en avoir lu aucune critique, ni de la part des journalistes littéraires – dont je sais à présent qu’ils ne lisent pas les livres qu’ils critiquent – ni de celle des lecteurs sur les sites littéraires.

Car la lecture de ce pavé de 680 pages, si elle a un peu de mal à démarrer à cause du foisonnement des personnages, devient urgente à partir de la moitié de l’ouvrage … Une urgence absolue de savoir comment vont s’entremêler, se télescoper, se détruire les habitants de Pagford, riante commune rattachée à la ville moyenne de Yarvil mais qui dispose d’une certaine autonomie à travers son Conseil paroissial, au sein duquel survient une vacance fortuite – « The Casual Vacancy », le titre original du livre – du fait du décès brutal d’un brave type au nom transparent : Barry Fairbrother.

Nous voici donc au cœur d’une querelle entre deux camps : ceux qui souhaitent que Pagford abandonne la tutelle administrative sur la cité HLM des Champs et qu’on ferme la clinique de désintoxication qui y fonctionne tant bien que mal, et ceux qui veulent aider à sauver les paumés, drogués et divers chômeurs qui y habitent.

Parmi les membres du conseil, il y a plusieurs familles : entre autres, le directeur-adjoint du collège, un employé de l’imprimerie locale, le chirurgien cardiaque Sikh et son épouse généraliste, le propriétaire d’une épicerie fine, par ailleurs Président du conseil paroissial et qui souhaite faire élire au poste vacant son fils avocat …. Cet épicier-là est le salaud absolu : aspect répugnant, stratège malfaisant, tireur de ficelles qui vont lui revenir dans la figure … Et puis il y a l’assistante sociale fraichement débarquée de Londres avec sa fille, et surtout, la jeune

en relation

  • La meilleure protection pour l'homme, comme pour l'insecte, est encore de prendre la teinte de ce qui l'environne. (rabindranath tagore)
    2026 mots | 9 pages
  • Cas pratique concubinage
    1783 mots | 8 pages
  • eco droit : fiche contrefaçon
    646 mots | 3 pages
  • Analyse d'un supporagence
    675 mots | 3 pages
  • Grande charte de jean de jean sans terre, 1215
    2318 mots | 10 pages
  • 7 conseils pour ameliorer sa technique
    1592 mots | 7 pages
  • Extradition
    303 mots | 2 pages
  • Projet professionnel personnalisé immobilier
    5070 mots | 21 pages
  • Voltaire ingenu chap 1
    817 mots | 4 pages
  • La contrefaçon
    454 mots | 2 pages
  • Peeintre.
    923 mots | 4 pages
  • Fiche L Atelier
    9656 mots | 39 pages
  • Histoire
    1174 mots | 5 pages
  • Sans Titre
    548 mots | 3 pages
  • UE 2
    1816 mots | 8 pages