Urban political ecology: environnement urbain et néolibéralisation
Urban political ecology « Environnement urbain et néolibéralisation »
UNIL – 2012
L'environnement, et l'anthropisation du même, portent à des défis dans l’aménagement urbain et dans la production de biens de consommation. Le néolibéralisme est la forme la plus répandue d'économie au niveau international et comprends, dans le bien comme dans le mal, l'exploitation de l'environnement tant que infrastructure sur laquelle développer des marchés, des commerces, des entreprises. Il est donc indéniable que les deux systèmes aient des impacts l'un sur l'autre, même si celui économique souvent prévaut, à travers le système globalisé, qui exploite les ressources localement pour donner des effets globaux et des marchandises homogènes dans tout le monde. L'article à Brand (2007) décrit la façon à travers laquelle les systèmes économiques néolibérales s'imposent sur la société à travers l'environnement. Ce dernier est effectivement un levier d'action dans la politique néolibérale et permet une fonction normative, à travers ce qui vient appelée le « bio-power ». Ce pouvoir est cerné dans le management environnemental urbain, qui développe donc un outil de pression du pouvoir exercé indirectement et de façon relationnelle. Ils existent donc des répercussions dans les comportements individuels et dans le rapport à la nature. Le rôle de l'individu vient approfondit et il devient plus explicite comment les politiques publiques pour l'environnement plongent dans l'atomisation de la société : elles exploitent les liens existant entre l'économie et la société afin les reproduire vis-à-vis à l'environnement. Ceci produit un individu autonome, avec des connaissances particulières et qui doit faire face aux enjeux environnementaux sans d’appui particulier de la société. En suite, l'auteur décrit la naissance du concept de citoyen et les échelles du pouvoir nécessaires à la mise en œuvre de ces mesures de management environnemental urbain. Ici entre en cause la vie