urbanisation des pays sous developpés
Avec l’avènement des nouvelles technologies le monde aujourd’hui se doit d’y faire face et de prime abord l’administration des douanes. Pour ce faire, cette administration doit être innovante car c’est le premier regard des entrées et sorties d’un pays de ce fait elle se veut moderne.
Ainsi, la douane s’est dotée de moyens nécessaire pour procéder à la perception des droits et taxes sur les marchandises à l’import comme à l’export. A cet effet, ces marchandises sont exposées selon le cas, des droits d’importation ou d’exportation inscrits dans le tarif des douanes.
En améliorant ses capacités opérationnelles, d’organisation de gestion, la douane sénégalaise se donne les moyens d’assurer trois grandes missions acquises aux douanes du 21ème siècle que sont :
-la sécurisation et la pérennisation des recettes,
-la mise en place des éléments de facilitation du commerce international,
- le développement des mesures nécessaire à la lutte contre la fraude, la contrebande et les trafics illicites par la sécurisation de la chaine logistique internationale.
Pour ce faire, à partir des années 90, l’administration des douanes sénégalaises a mis en place un système d’automatisation de l’ensemble des procédures de dédouanement allant de la prise en charge jusqu’à l’enlèvement des marchandises. Il s’agit de l’utilisation de l’outil informatique, système de gestion automatisée des informations douanières et d’échanges baptisé GAÏNDE, à la place des opérations manuelles. Ce système classique a été intégré au système ORBUS 2000, qui était fonctionnel pour les exportations et donnera naissance à une deuxième version.
Le système GAINDE sénégalais est amené à connaitre une évolution après une vingtaine d’années d’exploitation pour mieux prendre en compte les nouvelles exigences du commerce international et répondre aux besoins pressant d’une nouvelle forme d’organisation et d’exécution du service au niveau de l’administration des douanes. La version récente