Verlaine
Tout d’abord, nous allons analyser la fuite du temps et donc comment Baudelaire évoque un sentiment d’impuissance face au temps qui passe trop vite. Dans la 2eme strophe l’auteur cite le sujet de la mort, dans ce vers « ou l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux », l’eau est personnifié comme personne qui creusent des fosses pour enterrer les morts (fossoyeur) Alors que normalement l’eau est censé être un élément terrestre qui donne vie aux choses. La 2ème strophe, parle d’une accumulation de désastres avec le temps « pelle, rateau, terre, trous ». Dans la dernière strophe, le vers « O douleur, O douleur ! Le temps mange la vie », on sent dedans un cri de désespoir de l’auteur avec l’emploi de « O douleur, O douleur ! » à travers la ponctuation, et la répétition du mot douleur. Dans ce vers se trouve une personnification « le temps mange la vie ». Ensuite dans la dernière strophe, le temps est comparé a un ennemi obscur qui mange et qui ronge, il s’agit d’une métaphore, et l’auteur passe de la personne « je » a la personne « nous », pour montrer que tous les êtres humains doivent se sentir concerner par le temps qui passe trop vite.
Ensuite, nous allons analyser comment le sonnet est construit sur une métaphore filée du thème des saisons. Le 1er quatrain évoque un été plein d’intempéries, «ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage » au vers 1, et « le tonnerre et la pluie ont fait un tel