Après la Révolution française en 1789, beaucoup d’écrivains utilisent leur plume pour dénoncer les fléaux qui minent la société. C’est dans ce sens que, aux 19 siècles, Victor Hugo (1802-1885) écrivain romantique a écrit un livre intitulé Le dernier jour d’un condamné. Dans ce roman, le condamné nous dévoile une description de la torture physique et mentale que les juges infligent aux condamnés à mort. Dans l’extrait à analyser, on a une opposition d’un homme qui est heureux dans le passé, ensuite le condamné est devenu captif dans le présent. L’analyse qui suit étudiera d’abord le rapport qu’entretient le condamné avec les femmes dans la vie d’autrefois. De plus il était libre dans le passé. Ensuite, le condamné est victime de l’enfermement de sa pensée et enfin l’enfermement influence le condamné dans son environnement physique.
Le chapitre un s’ouvre et se ferme par le même groupe nominal : «condamné à mort». Notre analyse nous montre bel et bien qu’on ait une opposition de temps qui est autrefois un homme heureux à celui de maintenant ou le condamné est captif. Il est doublement enfermé et moralement prisonnier d’une seule idée, celle «d’être condamné à mort». 150 ans après le roman de Victor Hugo, André Brink, dans son texte intitulé Une saison blanche et sèche, expose l'injustice qui régnait en Afrique du Sud en faisant voir les discriminations de la société. Une saison blanche et sèche est le quatrième roman d'André Brink. Interdit dès sa publication en Afrique du Sud, il est traduit dans une dizaine de pays. Écrit dans la même langue somptueuse, riche de couleurs et d'images.