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Le dernier jour d’un condamné chapitre 12
Le dernier jour d’un condamné est un roman écrit par Victor Hugo, un écrivain, poète et le chef de file de l’école romantique. Publié la première fois en 1829. Cet œuvre est un récit d’un condamné à mort qui sera exécuté dans quelques heures. Il note au fur et à mesure ses impressions que le délai vient à l’expiration. Nommé le défendeur du droit de l’homme, Victor Hugo fait de son œuvre, un plaidoyer contre l’abolition de la peine de la mort. Nous étudions aujourd’hui, le chapitre 12 du roman qui a pour sujet, le déchiffrement des traces des anciens condamnés, d ce qu’il appel des « hôtes de la cellule ». De conséquent, ces empreintes fait entrer le condamné dans un état psychologique grave. Alors, quelles sont les portraits des « hôtes de la cellule ».Et, quel est l’état psychologique du narrateur ?
Le condamné est emprisonné entre quatre murailles. Ces murs sont chargés des écritures, de dessin, des figures et de nom. Tout d’abord, le narrateur annonce la reprise de l’examen de ces traces par curiosité. Nous illustrons : « une étrange curiosité m’a repris de continuer la lecture de mon mur ». De plus, il distingue « quatre ou cinq noms parfaitement lisible. » et il donne des informations à propos de leurs crimes et la date de leur condamnation, en plus de leur arme de crime. Nous citons : « Dautin (1815), celui qui a coupé son frère en quartiers… Poulain (1818) celui qui a assassiné sa femme ; Jean Martin () celui a qui a tiré un coup de pistolet à son père… Castaing () ce médecin qui a empoisonné son ami … Papavoine l’horrible fou qui tirait les enfants à coup de couteau sur la tête ! ». En outre, le condamné décrit ces condamnés après leur mort. Il les décrits comme des « hommes de meurtre et de sang ! ». Comme il distingue certains par le type de leur crime « le parricide». Nous illustrons : « il m’a paru que le cachot était était plein d’hommes, d’hommes étranges