Violence
Selon Freud, la violence naît du traumatisme d’un homme, traumatisme causé par sa frustration. Je développe : la violence naît du traumatisme, mais le traumatisme est dû à une mauvaise interprétation de la réalité que nous entrevoyons. Une incompréhension interne se forme, un déséquilibre mental et une perte de la faculté de dissocier le bien du mal. Perte causée par un facteur moral mal apprécié relatif à la société et ponctuée également par un besoin primaire non assouvi - qui peut être sexuel ou émotionnel. Mais, si la violence apparaît au cours de ce traumatisme, c’est qu’elle n’est pas présente naturellement. Un bébé à sa naissance n’est pas violent ! Il s’imprègne de tout ce qu’il vit et c’est ce tout qui formera ses traumatismes futurs. La violence n’est donc pas naturelle à proprement parler. Dutroux, Fourniret ou autre en sont de parfaits exemples ! Outre la colère, c’est la consternation et la tristesse qui me viennent en pensant, non pas à ces monstres qu’ils sont devenus, mais à leur jeunesse et à ce qui les a détruits psychologiquement. Traumatisme bien malheureux…