Vote des femmes
* la Suède entre 1718 et 1771, puis partiellement à partir de 1862 et de façon complète et définitive en 1919 (avec de premières élections en 1921) * la Nouvelle-Zélande en 1893 (éligibilité en 1919) * l'Australie en 1902 (1894 en Australie-Méridionale et 1903 en Tasmanie)
Mais ils sont précédés par des entités territoriales non étatiques :
* le Royaume de France, pour les élections municipales depuis qu'elles existent (à partir du XIIe siècle selon les régions). Disposition abolie en 1791[réf. nécessaire]. * l'État du New Jersey de 1776 à 1807[1] * Le Bas-Canada (aujourd'hui le Québec), de 1791 à 1849[2] * les Îles Pitcairn en 1838 * la province colombienne de Vélez de 1853 à son intégration dans l'État fédéral de Santander[3] * l'Île de Man en 1866 * le Territoire du Wyoming (États-Unis) en 1869[4]
et par certains États américains :
* Colorado en 1893[5] * Utah et Idaho en 1896
Suivent en (liste non exhaustive après 1940) :
* 1906 : en France Paul Dussaussoy dépose à l'Assemblée nationale le premier projet de loi pour rétablir le droit de vote des femmes aboli depuis la Révolution * 1906 : Finlande (avec éligibilité égale des femmes et des hommes) et Nouvelles-Hébrides (id.)[6] * 1913 : Norvège * 1915 : Danemark (y compris Islande)[7] * 1918 : Canada (au niveau fédéral, les provinces ayant déjà reconnu le droit de vote au niveau provincial entre 1916 et 1922 mais seulement en 1940 au Québec) et Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande (à partir de l’âge de 30 ans jusqu’à ce que, en 1928, leur statut soit aligné sur celui des hommes, soit l’âge de 21 ans). * 1918 : Russie soviétique (l'Union soviétique ne fut créée qu'en 1922), Tchécoslovaquie, Pologne et Géorgie Suffragettes menant un piquet le long des grilles de la Maison Blanche, janvier 1917. * 1919 : États-Unis (XIXe