Yeleen
Nianankoro= Fils
Oncle Bafing
Djigui= Oncle gentil
1er Séquence= Le soleil qui se lève, Poulet et Père
Le fils est liée à la terre et la mère et liée à l'eau
On pause le problème du temps et de l'espace, qui en cinéma est un élément primaire.
On crée un temps à part, le poulet qui brule au début c'est le poulet qu'on retrouve sur le pilon magique qui est inquenté par Soma (le père).
Le début est donc un flash foward, quand on voit le poulet qui brule (Apocalypse Now, Pulp Fiction).
On a changé de point de vue pour inclure à l'intérieur de la séquence le personnage de Soma et d'un seul coup on s'aperçoit que le réalisateur fait un travelling avant, car c'est le personnage qui métrîse la mise en scène. On est à distance au début, puis il nous fait rentré dans la scène. Le pilon disparaît du chant. on nous place au meilleur endroit pour pouvoir regardé bien la scène.
Le film repose sur le caché et le sacré. On attend le départ du personnage pour pouvoir changé de point de vue et de distance, on entre donc dans le rituel. Soma est entre l'arbre et le pilon. En suivant le personnage on est presque acteur du film, on nous oblige a suivre le rituel.
Il y'a une continuité sonore avec le bruit du feu et avec ce que dit Soma.
Quand on filme l'arbre en panoramique on a une continué sonore qui nous montre qu'il y'a une ellipse. Dès que ça ce fini on a encore qq chose de bcp plus sec, il nous montre qu'il a terminé, il remballe son pilon, on a une coupure net au niveau du son.
Dans le générique d'ouverture on dit que la lumière vient de la confrontation entre le ciel et la terre, il joue avec la lumière quand il filme l'arbre en panoramique on part du ciel pour allé vers la terre, le soleil est plus présent dans le carde la scène est en contre jour.
Il n'hésite pas à faire des oppositions (lumières, sonores).
Séquence 2: Nianankoro et sa mère
A chaque conflit on a un changement de séquence, c'est qq d'accès classique, on a un