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Ce document est un extrait du recueil La Parti des Choses, intitulé « L’Huître » publié en 1942 et écrit par Francis PONGE. Le Texte essaye de faire changer de point de vue le lecteur par rapport à l’huître, en lui donnant la meilleur image possible. Dans un premier temps, nous allons essayer de décrire l’huître, en tant qu’objet, puis l’huître dans le texte. En un second temps, nous nous attarderons sur la signification de la description, ce qu’elle cache à travers sa simple énumération des caractéristiques physiques de l’huître, en parlant de l’art poétique, et de sa fonction.
Quand on lit le texte le PONGE, pour la première, ce dernier nous semble banal. En effet, qu’elle est l’intérêt de décrire une huître? Dans un premier temps, l’auteur nous donne un aperçu extérieur de l’huître sur sa coquille : « L’huître, de la grosseur d’ un galet moyen, est d’une apparence rugueuse,[…] ».
Pour transiter avec la 2e partie du texte, qui concerne l’intérieur, PONGE nous invite à ouvrir l’huître : « […]il faut alors la tenir au creux d’un torchon, se servir d’un d’un couteau ébréché et peu franc, s’y reprendre à plusieurs fois. ». Finalement, le lecteur parvient grâce à la lecture à « ouvrir » l’animal, et nous passons à la seconde partie du texte. Celle-ci, nous décrit l’intérieur de l’huître, que nous pourrions interpréter comme un microcosme, un « petit monde ». Pour parfaire sa description, il utilise notamment des figures de style : métaphore (« A l’intérieur, on trouve tout un monde,[…]. »), ou bien encore l’oxymore (« Brillamment Blanchâtre »). Contrairement au premier paragraphe, celui-ci n’est composé que d’une seule phrase, pour tenter de simplifier la complexité de l’intérieur d’une huître. Enfin, l’auteur passe à la dernière partie, qui est encore plus simple que toutes les autres citées précédemment, mais qui à son importance. Derrière la coquille, dessous le firmament, dans leur gosier de nacre, une perle, chose très rare. L’auteur