A une passante
Ce poème est un sonnet a la structure peu habituelle, ces rimes ne sont pas dans "l'ordre" et ne suivent pas le schéma habituel qui est celui ci : abba abba ccd ede. Peut être que ce poème est structurer ainsi pour refleter l'Etat d'esprit du poète ?
Ce poème évoque une rencontre entre le poète et une mystérieuse passante. Tout d'abord dans les deux premiers quatrains nous avons la description de la femme, ensuite dans les deux tercets le poète évoque ses sentiments tout en s'adressant a la femme. Ce poème comporte plusieurs temps verbaux : tout d'abord le passé, ensuite le présent et pour fnir le futur ! Le registre est lyrique.
La syntaxe : V1 : inversion du complément "autour de moi" ; "je buvais" métaphore, il est fasciné par son regard ! "Son oeil", pourquoi ne dit t'il pas ses yeux ? cela rajoute du mystére ... "ciel livide" connote la mort, teint de cadavre ; "germe l'ouragan" métaphore, germe indique la naissance et ouragan le coup de foudre : naissance d'un coup de foudre ; "UN éclair" : lumière brève !
Cette femme qui le fascine évoque la beauté mais aussi la mort, comme nous le montre les champs lexicaux ! Baudelaire nous explique t'il ainsi la beauté de la mort ? la beauté de l'art ? Le V8 exprime clairement cet état d'esprit : "la douceur qui fascine et le plaisir qui tue" nous pouvons traduire : sa beauté qui fascine, la passion qui tue ? Il y a bien sur une connotation sexuelle dans ce vers. Nous pouvons aussi voir que cette femme aussi morbide sois t'elle le fait sortir du chaos : "rennaitre" V10 alors que j'usqu'à ce vers le poète nous avait lis dans une ambiance plutot funeste en commencant par le V1 : Hurlait, assourdissant ...
Une nouveauté apparait dans son poème par rapport a l'époque : Baudelaire parle d'une ville, et non plus des campagnes, paysages ...ect ... Mais la décrit très mal, et ne donne pas envie au lecteur de si rendre . Le dernier tercets est tragique "trop tard" "jamais" ... Une derniere