faits sociaux et complotisme
Le psychologue américain Adam Galinsky, spécialiste de l’incertitude et connu pour ses recherches sur le leadership, le pouvoir, les négociations… a affirmé que « les théories du complot permettent de retrouver le contrôle et de rendre le monde plus lisible. ».
Le psychologue et scientifique Jan-Willem van Prooijen, lui, affirme que « ces théories ont tendance à fleurir pendant des périodes …afficher plus de contenu…
Cependant, en montrant à l’utilisateur uniquement des opinions avec lequel il est déjà en phase, ce principe va à l’encontre de la démocratie, puisque ce dernier ne se base que sur sa perception, celle qu’a monté de toute pièce le réseau. Les personnes les plus atteintes par ces systèmes sont celles qui ont déjà auparavant effectué des recherches à ce sujet, l’algorithme inonde alors son fil d’actualité de publications similaires, et dans notre cas, ciblées sur des théories complotistes du Covid-19, et ce au détriment d’autres informations et points de vue qui auraient permis à l’individu de relativiser.
Des hashtags ont été également mis en place sur des réseaux sociaux comme …afficher plus de contenu…
On trouve également ces pratiques dans un certain nombre de pays à régime autoritaire.
Ainsi, plus la pluralité de l’information existe dans un pays, et moins ces thèses complotistes pourront impacter la bonne information des citoyens.
Ces textes complotistes ont donc un impact indéniable sur les populations puisque les réseaux sociaux prennent une large place dans l’information des populations. Toutefois, dans les pays où la démocratie est bien vivante et le pluralisme de l’information existe, ces thèses se révèleront moins