Les différentes communautés du monde ont toujours eu des normes formelles et informelles dans leurs mœurs. Au Québec, l’égalité des sexes est une des valeurs primaires pour la société. Par contre, on remarque que les droits des femmes sont souvent brimés et controversés dans certaines populations. Chez les musulmans, par exemple, les femmes doivent porter le voile pour être bien vues dans la société. Par ailleurs, les peuples africains ont un rituel bien atroce pour qu’une femme soit bien vue dans la société : l’excision. Il sera intéressant de voir comment les femmes ou fillettes, souvent africaines, sont perçues avec et sans l’excision par les hommes et ses consœurs. Malheureusement, plusieurs types de mutilation de l’organe génital féminin existent et ils sont plus cruels les uns que les autres. Évidemment, la santé mentale et physique des fillettes est troublée par cet acte cruel qui en résulte par un nombre incroyable de décès.

Rituel Dans les populations africaines, l’excision est un rituel qui dure depuis des millénaires. C’est une tradition qui se transmet de « mère en fille », par contre ce n’est pas la plus joyeuse qu’on a l’habitude de voir. Généralement, on transmet des recettes de cuisine, des bijoux… En effet, cette mutilation génitale est considérée comme un moment extrêmement important dans la vie de la femme africaine, ainsi que le mariage. On pourrait comparer ces évènements avec le baptême, la communion, la confirmation, le mariage et l’extrême onction pour les chrétiens. Ce geste violent et complètement dégradant dans l’esprit de certains est le seul moyen pour la femme d’être reconnue positivement au sein de sa communauté. Dans le cas contraire, elle est considérée comme une femme « impure qui est incapable de contrôler ses pulsations sexuelles1 ». Les hommes pensent également que le clitoris envoyait des substances toxiques et que cela peut l’empoisonner pendant qu’il a des relations sexuelles avec sa femme. De plus, ils pensent