L'intervention de l'etat
En 2005, 55,8% des dépenses des administrations publiques sont consacrées à la couverture des risques sociaux. L’Etat assure particulièrement les dépenses d’enseignement, d’ordre et de sécurité publiques. . Depuis 1995, la structure des dépenses publiques s’est légèrement déformée au profit des dépenses sociales. En 2003, dans l’Union européenne à 25, la part des dépenses des administrations publiques dans le PIB situait la France au quatrième rang. La structure des dépenses françaises est proche de celle des autres pays européens.
Tout d’abord, nous savons que les administrations publiques c’est ensemble des unités institutionnelles dont la fonction principale est de produire des services non marchands ou d'effectuer des opérations de redistribution du revenu et des richesses nationales. Le secteur des administrations publiques comprend les administrations publiques centrales, les administrations publiques locales et les administrations de sécurité sociale. Puis la compétitivité c’est la capacité d’une entreprise d’un secteur ou d’une économie à faire face à la concurrence, tant sur les marchés extérieurs que sur son marché interne.
Pour répondre à notre problématique , l’intervention de l’Etat a t –elle des effets negatifs ou positifs dans la compétitivité de l’économie , nous allons voir dans un premier temps que l’Etat providence dans certains cas permet soutenir la compétitivité de l’économie, et dans un second temps que ce n’est pas toujours le cas, l’intervention des administrations publiques met en danger l’efficacité de l’économie.
Tout d’abord, nous pouvons constater que l’Etat providence favorise la compétitivité de l’économie. Nous savons que L'Etat-Providence est une conception de l'État où celui-ci étend son champ d'intervention et de régulation dans les domaines économiques et sociaux. Elle se traduit par un ensemble de mesures ayant pour but de redistribuer les richesses et de prendre en charge