Introduction :
Le XVII siècle, aussi appelé le siècle d’or, fut considéré comme une époque de tolérance et de liberté de culte. Pendant la deuxième moitié de cette période (après 1650), la France se retrouva avec un nouveau roi, le roi soleil de son vrai nom Louis XIV, qui ce dernier encourageait énormément les arts. D’où l’arrivé de Charles Perrault, un homme de lettre français chargé de la politique artistique et littéraire de Louis XIV. Il permit de révolutionner le courant dans lequel il était, le classicisme, en étant un des premiers à populariser le genre littéraire des contes de fées. Ce dernier eu un succès immédiat auprès du public, le style qu’il employait allait directement aux goûts du spectateur, en créant les Contes du temps passé ou Contes de ma mère ( ‘Oye). Un de ses contes de fées, La Barbe bleue, tiré des Contes de ma mère l’oye, narre l’histoire d’un homme à la barbe bleue qui se marie avec une femme. Cependant, cette dernière, lorsqu’il l’avait mise en garde de ne pas rentrer dans la petite pièce, avant son départ, mais le fit quand même, se retrouva en danger de mort. Heureusement, les frères de la mariée arrivèrent au bon moment et tua l’homme à la barbe bleue.

1. Idée énoncée :
Dans le conte La Barbe Bleue, de Charles Perrault, les personnages sont stéréotypés : montrez que l’homme incarne la puissance tandis que la femme incarne la faiblesse. 1.1 Idée expliquée :
(Tout d’abord) L’homme incarne le stéréotype de la puissance d’abord par le fait qu’elle n’est respectée les contraintes de son mari, alors ce dernier se voit dans l’obligation de la tuer. 1.2.1 Idée illustrée :
La tonalité : « Il faut mourir; Madame, lui dit-il, et tout à l’heure.» (l. 66) et «Je vous donne un quart d’heure, reprit la Barbe Bleue, mais pas un moment davantage.» (l.67, 68). Ces dernières phrases montrent une tonalité à la fois tragique et aussi banal, comme si de tuer quelqu’un était une routine. 1.2 Idée expliquée :