L'évolution des mathématiques au moyen-âge
Table des Matières
L’évolution des mathématiques au Moyen-Âge 3
L’évolution des mathématiques à la renaissance 4
Annexe 5
Bibliographie 6
Durant le Moyen Âge
L’implication du Moyen Âge fut primordial pour l'extension du domaine des nombres. Durant le Moyen Âge, l'application de l'algèbre au commerce amena en Orient l'usage courant des nombres irrationnels, cet usage se transmettra ensuite à l'Europe. Il eut aussi un développement de méthodes pratiques. La plus importante des nouvelles méthodes pratiques fut la numération décimale de position, importée des Indes, qui comporte des algorithmes très efficaces. C'est aussi durant le Moyen Âge, mais en Europe, que des solutions négatives furent acceptées pour la première fois dans des problèmes pour le moins complexes. C'est enfin peu après la fin du Moyen Âge que l'on considéra les quantités complexes, qui permettaient de mettre en évidence des solutions réelles de certaines équations du troisième degré.
Durant la Renaissance
L'essor économique et commercial de l'Europe, avec l'ouverture de nouvelles routes commerciales notamment vers l'Orient musulman, permet aux marchands de se familiariser avec les techniques des arabes. Ainsi, Léonard de Pise, avec son Liber abaci en 1202, contribue largement à faire redécouvrir les mathématiques à l'Europe. Il y avait aussi une activité mathématique en Allemagne, en Italie et en Pologne aux XIVe siècles et XVe siècle. On assiste à un développement important de l'école italienne avec Cardan, Ferrari, Tartaglia, Scipione del Ferro, Bombelli,