I-Faire un bilan
1. l’Afrique : un continent sous développé.
Fort de sa population qui est de plus d’un milliard et de sa superficie de[] 30 415 873 km2[] les Africains représentent 16 % de la population mondiale et leur territoire représente 6% de la superficie de la planète.
Ces dimensions ne permettent pas à l’Afrique de se développer, ce qui l’ancre dans un sous-développement profond. En effet l’IDH (indice de développement humain) était entre 0.286 et 0.7 en 2011 tandis que le monde était à 0.682 ce qui montre la médiocrité de la vie des Africains. De plus, le PIB par habitant est principalement de 0 à 2500 (le plus faible) dans la plupart des pays même si pour certains ce chiffre est très bon (entre 10000 et 15000) en 2012. Ainsi l’Afrique ne montre pas les même signes de richesse que les autres pays du monde ce qui peut l’ancrée dans un sous-développement.
Un pays sous développé et un pays dit PMA (pays moins avancés). Les pays rentrant dans cette catégorie sont ceux qui présentent des facteurs économiques politiques et sociaux faibles. Ils sont au nombre de 33 sur 48 en Afrique.
En effet, l’Afrique en 2010 a pu exporter et importer pour 508 milliards de dollars ce qui reste extrêmement faible puisque la moyenne mondiale est de 2000 milliards de dollars.
De même, on peut voir qu’au niveau politique, l’Afrique est l’un des pays les plus corrompu où circule tout type de produits illicites que le gouvernement ne sait pas gérer.
Socialement, le nombre d’analphabètes est des plus importants au monde (cf carte d’analphabétisation d’Afrique) ce qui ne dynamise pas les emplois en Afrique, et qui montre un système éducatif défaillant avec des structures sociales archaïques.
De plus, le sous-développement se reconnaît à une agriculture primitive, l’Afrique ne possédant encore que très peu de moyens «modernes » (tracteurs, machines…) et à des industries embryonnaires ou quasiment inexistantes.
Ibrahima BAH, footballeur de Sierra Léone, résume la situation