1DELAFRAYE Anaïs TG4Baccalauréat blanc de philosophie : Le travail peut-il favoriser la liberté ? « Le domaine de la liberté commence seulement là ou cesse le travail qui est déterminé par la nécessité et la finalité extérieure », disait Karl Marx. Le travail se définit ainsi comme une activité productrice qui réclame des efforts inscrits dans le temps et qui incorpore nécessairement une dimension technique. Cela signifie que le travail n’est jamais un objectif en soi, qu’il est toujours en partie pénible et qu’il mobilise une série d’opérations impliquant un savoir-faire. Le terme « favoriser », lui, signifie créer les conditions qui permettent le succès d'une action, le développement d'une activité. Concernant …afficher plus de contenu…

Elle n’est donc pas naturelle mais dépend des lois de la communauté politique. C’est en ce sens que l’on parle de liberté d’expression. On peut être privé de liberté politique, comme les esclaves par exemple, sans être privé de libre-arbitre. Il apparaît donc que les termes « liberté » et « travail » soient en totale opposition. Mais nous allons voir par la suite qu’ils peuvent être, au contraire, intimement liés. Une question fondamentale se pose alors, le travail est-il vraiment un obstacle à ma liberté dans la mesure où il est une contrainte ou bien peut-on conquérir sa liberté grâce au travail ? Après avoir étudier le travail libérateur, nous en ferons de même pour le travail en tant que …afficher plus de contenu…

La réalisation dans le travail permet alors un nouveau rapport de l’homme à la nature, si les conditions sont réunies, le travail est réalisation de soi mais aussi union avec le monde non vivant et la nature transformée. À ce titre, il n’est pas pure domination de l’homme sur la nature. En tant qu’activité consciente et autonome, il est