L’intelligence artificielle
L’intelligence artificielle de nos jours et avant même par des siècles déjà, préoccupait les esprits humains, et plus particulièrement les scientifiques et les philosophes, en se demandant si un jour la machine pourra-t-elle réellement penser ?
René Descartes, le philosophe qui a marqué la philosophie et la théologie tout au long de son siècle, affirme le dualisme de l’âme et du corps, où il conçoit l’animal comme une « machine », dépourvu de pensée et donc d’âme. Assurant ainsi que l’homme est la seule entité intelligente.
Quant à Alan Turing, dans son test traitant la capacité des machines à penser, à travers l’imitation d’une conversation humaine, dans le but de montrer l’apparence sémantique humaine des ordinateurs. Nous allons comparer comment René Descartes et Alan Turing ont usé d’une même idée de départ en s’interrogeant sur la possibilité qu’une machine peut-elle penser. Puis nous essayerons de démonter comment la conscience est prise selon Descartes et Turing pour enfin traiter le point sur le rapport âme et corps selon nous deux protagonistes.
Chez René Descartes et Alan Turing nous trouvons une ressemblance assez marquante qui consiste dans le fait de poser des tests linguistiques dans un but commun qui reste de prouver si les machines sont capables de penser ou non.
Effectivement, René Descartes qui était le prédécesseur de l’idée, proposant un test conduit par l’action et la parole pour démontrer si les machines sont capables de penser ou non, c’est pourquoi il juge utile de procéder par une conversation entre machine et humain, ou bien si cette conversation est stimulé e seulement par la logique afin de déceler le degré de naturel de la conversation. Par la suite, Turing vient reprendre l’idée de départ de Descartes qu’est : est ce qu’une machine peut-elle penser ? Sauf qu’il appuie son test en se basant sur un test sémantique. De ce fait, Descartes et Turing grugent leurs tests