Étude sur le cancer du sein
Près de 50000 nouveaux cas de cancer du sein sont dépistés chaque année en France dont plus de 5500 chez des femmes de moins de 44 ans. Soit une femme sur huit. Et autant de familles ont à vivre ce calvaire !
C’est pourquoi le dépistage doit être une surveillance essentielle. En effet plus le cancer du sein est détecté tôt plus les chances de guérison sont grandes.
Diapo 4 : il n’existe pas un mais plusieurs cancers, les cellules tumorales se développent le plus souvent à partir des cellules des canaux de la glande mammaire.
* Si les cellules cancéreuses restent localisés à l’intérieur du canal (cas le plus fréquent ), c’est un carcinome in situ (Ce type de tumeur n’envahit pas les tissus voisins, ne s’étend pas à distance et ne forme pas de métastases) * * Si les cellules cancéreuses franchissent la membrane du canal, c’est un carcinome infiltrant. Dans ce cas-là les cellules cancéreuses peuvent envahir la profondeur des tissus du sein, à un stade tardif elles peuvent aussi gagner les ganglions lymphatiques, les plus proches étant ceux de l’aisselle, et parfois envoyer dans l’organisme des cellules tumorales à l’origine des métastases. *
La chirurgie et le traitement vont dépendre de la forme du cancer.
Diapo 6
Première Phase : La découverte de la maladie
La surveillance commence chez le gynécologue, en effet il sait si les seins gonflent, palpe le creux de l’aisselle. Il apprécie donc d’une visite à l’autre, les évolutions. Il est le partenaire idéal pour prescrire une mammographie s’il le juge utile.
La majorité des gynécologues conseillent en plus de l’examen clinique, une mammographie et/ou une échographie dès 40 ans. A répéter tous les deux ans si les images sont normales. On appelle cela le dépistage individuel. Pour les femmes à risque de cancer du sein, cette surveillance a lieu chaque année et peut démarrer plus tôt.
Un programme national de dépistage s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans. Elles