Être citoyen et ne pas voter !
Etude sur l’abstention en politique :
L’abstention consiste à ne pas participer à un vote d’une élection ou de référendum. Elle peut se traduire par un désintérêt total de la vie politique et gouvernementale du pays. Mais, l’abstention est différente d’un vote blanc ou nul. En effet, pour un électeur votant blanc ou nul, même si il manifeste l’idée du partie politique, il ne remet pas en cause le principe des élections ni de leur utilité.
Cependant, l’abstention est différente au niveau des classes sociales, de notre âge et même selon le(s) vote(s) proposé(s) (Référendum, législative, présidentielle, …). En effet, les jeunes citoyens et les classes sociales défavorisés vont participer fortement à l’abstention du vote (représentent, jusqu’à 70% de cette abstention). Ils se sentent exclu de cette politique droite, gauche mise en avant en France et veulent du concret soit des promesses et des engagements effectués, non pas des discours sans agissement. Mais, les votes proposés vont faire varier l’abstention. Effectivement, nous pouvons remarquer qu’entre le vote présidentiel et un référendum ou le vote des législative, l’abstention peut varier de 40%. Pourquoi ? Tout d’abord, les citoyens français n’ont plus confiance sur le référendum puisqu’en 2005 malgré le non des citoyens pour le changement de la réforme constitutionnelle en France, la réforme a bel et bien été changée. Le vote des législatives se passant juste après les élections présidentielles a plus d’abstention parce que la confiance s’effectue sur les autres électeurs du partie politique au pouvoir.
Dans certains pays, le vote est obligatoire comme en Belgique, en Grèce, ou même au Brésil, … L’inscription aux listes électorales, et le vote est obligatoire dans ces pays sous peine de sanction. Ces sanctions sont plus ou moins importantes selon les pays. Voici quelques exemples de sanction : * Amendes (de 25 à 125 € en Belgique) ; * La difficulté