Le Monde perdu

par

L’inspiration de Conan Doyle

Si nous venons de conclure la partie précédente sur la présence d’hommes-singes dans le roman, il faut en préciser l’importance du point de vue de l’inspiration de l’auteur. En effet, celui-ci évoque une espèce ayant été l’objet de nombreuses missions, qui supposaient l’existence d’un homme primitif nommé curupuri. Celui-ci vivrait au Brésil, aurait plus ou moins le physique d’un humain, mais aurait un corps couvert de poils, le différenciant donc de l’homme moderne. Il serait demeuré à un stade primitif mais suffisamment proche de l’homme pour que l’on puisse les assimiler.

« De vrais visages d’assassins ! Et des costauds, aussi grands qu’un homme, mais plus forts ! Ils ont de curieux yeux gris vitreux sous des touffes rouges. Ils étaient assis, et ils rigolaient, rigolaient ! Challenger n’a pas un cœur de poulet, mais là il arborait une mine lamentable. Il sauta tout de même sur ses pieds et leur cria d’en finir. Je crois qu’il avait un peu perdu la tête, car il entra dans une fureur épouvantable et les injuria… comme s’ils étaient de vulgaires journalistes ! »

De plus, pa

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