Ahmed Ben Bella

guerre d'Algérie, huit années de tourments qui ont marqué durablement les esprits et les coeurs des deux côtés de la Méditerranée. Naissance du FLN Le Front de Libération Nationale (FLN) est créé au Caire, peu après la «Toussaint rouge», par Ahmed Ben Bella, un indépendantiste en rupture avec le MTLD de Messali Hadj, qu'il juge trop modéré [ne pas confondre avec le FNL vietnamien, créé en 1960]. Dès lors, le mouvement indépendantiste et les messalistes, rassemblés au sein d'un nouveau parti, le

berbère. C’est ce qui rend le vocabulaire des usagers algériens truffé de néologismes et d’expressions nouvelles. Les autres langues n’ont pas vraiment eu une influence considérable, malgré que les turcs ont occupé le pays, il n’en reste selon M. Ben Cheneb que 634 mots dont la majorité des ses derniers sont relatifs au domaine culinaire. L’arabe, langue officielle : L’arabe standard, est la langue officielle de notre nation. Du fait qu’elle soit langue du coran sacré, langue liturgique

premières gratuites) Soldats qui viennent de Région Parisienne, 14 jours à vivre FLN : guerria François Mitterrand : ministre de la Justice : arrête quelqu’un 19 juin 1956 : condamné à mort, Algériens le considère comme martyre de la révolution Ahmed Ben Bella : leader, président Algérie Les Français se dispersent et n’arrivent à rien faire Egypte fournit armes au FLN Nouveau dirigeant : colonel Salan > veut écraser FLN > fermer le pays pour empêcher fuite vers pays voisins Empêcher gens de fuir par

de polices ou des casernes militaires (symboles de la présence coloniale française)  mort de 7 personnes. Le FLN (front de libération national) revendique.   FLN dirigé par 6 hommes le + important = Mostefa Ben Boulaïd Répression : des renforts militaires, arrestation de Mostefa Ben Boulaïd + projet de réformes éco. On ne comprend pas qu'une nouvelle guerre vient de commencer ; « événements » d'Algérie 2. 1955-1956 : le glissement vers la guerre 20 août 1955 : soulèvement de milliers

réchappe, profitera de l'émotion causée par l'attentat pour proposer l'élection du président de la République au suffrage universel. 29 septembre A la suite des accords d'Evian (18 mars 1962) qui reconnaissent l'indépendance de l'Algérie, Ahmed Ben Bella, chef du Front de libération nationale (FLN), est élu par 159 voix contre 1, premier président du Conseil par la nouvelle Assemblée nationale algérienne. Il accédera à la présidence en 1963, mais sera renversé par le coup d'Etat de Houari Boumediene

Aux « Six » de l’intérieur, on crut utile d’adjoindre trois responsables qui étaient à l’extérieur. Ainsi, il y eut neuf responsables qu’on appela les « Historiques » : Hocine Ait Ahmed – Krim Belkacem – Ahmed Ben Bella – Rabah Bitat – Mohamed Boudiaf – Mustapha Ben Boulaïd – Mohammed Khider – Didouche Mourad – Larbi Ben M’Hidi. (…) Dans les Aurès, en Kabylie, à Souk-Ahras, à Alger, au Condé-Smendou, à St Charles, au Khroub, Paul-Cassaigne, au même moment éclatent des bombes incendiaires

car nous sommes des continents frères. Jawaharlal Nehru, Discours, New Delhi, 1949-1961. Document 2 Affiche anticolonialiste (1956) © Le personnage de gauche est Gamal Abdel Nasser, chef de l'État égyptien ; celui de droite est Ahmed Ben Bella, l'un des chefs du Front de libération nationale algérien. Document 3 Extraits de la charte de l'OUA (25 mai 1963) ARTICLE PREMIER I. Les hautes parties contractantes constituent, par la présente charte, une organisation dénommée « Organisation

de l’Algérie. Quant à l'OAS, elle tente à diverses reprises d'assassiner le Général De Gaulle : le 22 Août 1962, celui-ci n'échappe à la mort que de justesse lors de l'attentat du petit Clamart, prés de Paris. A la suite des accords d'Evian, Ahmed Ben Bella, chef du Front de libération nationale (FLN), est élu par 159 voix contre 1, premier président du Conseil par la nouvelle Assemblée nationale algérienne. Il accédera à la présidence en 1963, mais sera renversé par le coup d'Etat de Houari Boumediene

algérien, créé le 1er Novembre 1954 ayant comme objectif d’obtenir de la France l’indépendance de l’Algérie, alors divisé à ce moment en département français d’Algérie. Le FLN est composé de six « chefs historiques »  Krim Belkacem, Mostefa Ben Boulaïd, Larbi Ben M'Hidi, Mohamed Boudiaf , Rabah Bitat et Didouche Mourad. Le FLN et sa branche armée, l'Armée de libération nationale (ALN), commencent alors une lutte contre l'empire colonial français. François Mitterrand ministre de l’intérieur du (19

lieu en ce jour de la «Toussaint rouge» : récoltes incendiées, gendarmerie bombardée... On compte sept victimes, toutes musulmanes sauf un instituteur venu de métropole. Peu après est créé au Caire le Front de Libération Nationale (FLN), par Ahmed Ben Bella, un indépendantiste en rupture avec le MTLD de Messali Hadj, qu'il juge trop modéré. Le FLN et les messalistes, rassemblés au sein d'un nouveau parti, le MNA (Mouvement National Algérien), vont dès lors se disputer à couteaux tirés les faveurs