Ahmed Ben Bella

* 3.5.1.5 Conflit armé et politique * 3.5.1.5.1 Remarque historiographique * 3.5.1.5.2 Le conflit * 3.5.1.5.3 Bilan des pertes * 3.5.2 Algérie indépendante * 3.5.2.1 Crise du GPRA et Ben Bella * 3.5.2.2 Socialisme * 3.5.2.3 Démocratisation * 3.5.2.4 Transition * 4 Politique * 4.1 Système politique * 4.2 Politique extérieure * 4.3 Puissance militaire * 5 Économie * 5.1 Production

noms de ceux qui allaient conduire la Révolution algérienne. Le 11 juin 1951, l’audience commença au tribunal correctionnel de Annaba. Les juges coloniaux examinaient d’une part l’Organisation secrète dite «OS», notamment le cas des prévenu «Belhadj, Ben M’hidi, Didouche, Boudiaf, les autres chefs n’ayant pu être identifiés, d’autre part l’activité déployée par tous les autres au sein des différentes sections». Sur l’OS et ses responsables, le compte rendu donne aux historiens un véritable matériau

| |Mostefa Ben Boulaïd | |Ferhat Abbas | |Larbi Ben M'Hidi

Musulmans. Ils commencent, en Algérie et au Maroc, depuis que le drapeau français y flotte, à comprendre leur religion qu’ils ignoraient. (…) La France est venue. Ses écoles continuent à dissiper les ténèbres. « Il est le fils de l’Agha Cheikh Ben Abdallah qui travailla à répandre l’influence française sur la région de Colomb Béchar. » 62 « L’auteur appartient de surcroît à la grande famille maraboutique des Ouled-Sidi-Cheikh qui joua un rôle éminent dans l’affirmation de l’identité algérienne

d'Algériens ). Contrastes sociaux importants, 1947 : la France promet de les associer à la politique avec une Assemblée locale, législative ( 120 membres 50,50 ), mais n'a jamais été appliqué. 1 novembre 1954 : 70 attentats simultanés en Algérie avec Ahmed Ben Bella. Août 1955 : massacres à la ville de Constentine d'européen ( 100 ), représsailles avec la morts de 1000 musulmans. 1956 : l'armée française envoie 400 soldats poursuivrent les fellaghas. Janvier 1957 : bataille d4alger qui dure 9 mois. La

celui qui détiendra le pouvoir. Ferhat Abbas, l’un des pionniers du nationalisme algérien rallié par la suite au FLN, est élu président de l’Assemblée constituante en septembre 1962.Il est remplacé par Ahmed Ben Bella, l’un des chefs du FLN, en 1963 car l’Algérie est sur le point de s’effondrer. Ben Bella instaure un pouvoir fort mais Houari Boumédiène, homme fort du FLN, prend le pouvoir en 1965 suite à un putsch. Il instaure alors un régime militaire fondé sur le Parti-unique du FLN jusqu’en 1978.

vitalité démographique importante. Il apparaît comme logique, que des tensions apparaissent entre ces deux communautés. En 1954, ( 10 Octobre ), des algériens nationalistes créent le Front de Libération Nationale ( FLN ). Ses fondateurs sont : Ahmed Ben Bella, Belkacem Krim, Mohamed Boudiaf. Le 1er Novembre 1954, une série d'attentats organisés par le FLN ouvre la guerre d'Algérie. Que réclame t-il ? : La reconnaissance de la souveraineté Algérienne et des négociations entre l'Algérie et la France

Ljubljana Croatie Il était un homme politique et un militaire yougoslave, dirigeant de l'État socialiste yougoslave avec les titres officiels de premier ministre, puis de président, de la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'à sa mort en 1980. Ahmed Ben Bella 25 décembre 1916 Maghnia (Algérie) Algérie Il est un homme d'État algérien. C'est un des neuf « chefs historiques » du CRUA, futur FLN, parti indépendantiste algérien, il est arrêté pendant la Guerre d'Algérie mais prend part à l'indépendance

des autorités françaises. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, il va y avoir une prise de conscience que les négociations ne fonctionnent pas et qu’il va falloir passer à une autre étape. Le FLN va être créé en 1954 avec comme fondateurs Aït-Ahmed, Ben Bella et Boudiaf. Les premiers attentats contre le colonialisme sont exécutés le 1er Novembre 1954 nommé la Toussaint Rouge. L’armée française réagit avec arrestations, tortures. Il y a un appel du général De Gaulle en mai 1958, qui entame les négociations

administrations. Après la guerre, l'agitation nationaliste était très forte et se traduisait par des manifestations. La France a agi par la répression et l'arrestation de leaders : pour la Tunisie, c'est et pour le Maroc, c'est le sultan Mohammed ben Youssef. Ces mesures ont renforcé la contestation; sous le gouvernement de Mendès-France, des négociations ont été engagées. En 1956, la Tunisie et le Maroc deviennent indépendants. L'émancipation des colonies françaises d'Afrique noire fut d'abord