Aide au suicide

Dans notre société, nous avons vacillé sur un problème depuis plusieurs années. Celle-ci s’appelle le suicide assisté, qui est l’idée qu’une personne peut prendre leur vie tout en faire demande. Dans la majorité des pays ceci est illégal, sauf pour certains pays en Europe. En Canada, le suicide lui-même n’est pas illégal, toutefois le suicide assisté l’est. L’article 241 (b) dans le Code Criminel Canadien constate que : « Est coupable d'un acte criminel et passible d'un emprisonnement maximal

l’administration de sédatifs en dose importante. On emploie le mot aide au suicide pour désigner le fait de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu’elle se suicide, quelles qu’en soient les motivations. Dans ce cas, c’est le « patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers. L’aide au suicide demande une manifestation claire et libre de la volonté de mourir, ce qui la distingue de l’incitation au suicide. Peut-on aider quelqu’un qui le demande à mourir dans la dignité

Documentation http://raymondviger.wordpress.com/2009/10/03/decriminalisation-du-suicide-assiste-et-euthanasie-2/: La vie d’une personne humaine est trop importante pour qu’on puisse y mettre fin sans punition. « La première condition pour qu’une personne soit «libre» et qu’elle puisse exercer son autonomie, c’est d’abord et avant tout qu’elle soit en vie.» http://www.carenotkilling.org.uk/?show=823: Un homme, Alison Davis, qui étant pourtant condamné a réussi à surmonter sa maladie alors que

souffrance ou d'une détresse constante insupportable, non maîtrisable, consécutive à un accident ou à une affection pathologique, ou lorsqu'elle est atteinte d'une maladie dégénérative incurable, dispose du droit de recevoir une aide pour se retirer dans la dignité. Cette aide active à mourir ne peut être prodiguée que par un médecin et uniquement si la personne a pu en exprimer la volonté claire, dans les conditions fixées par les articles 2 et 3. Article 6 Le médecin devra également prendre l'avis

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l’euthanasie, il est nécessaire de respecter le patient concerné. Personnellement, je crois que le suicide assisté est une méthode envisageable, mais à certaines conditions. Il est important de comprendre que selon la charte des lois et liberté, il passible d’emprisonnement quiconque « conseille à une personne de se donner la mort » et « aide ou encourage quelqu’un à se donner la mort, que le suicide s’ensuive ou non. » Il ne faudrait pas venir à s’en dire que si l’euthanasie est légale, que les

effet d'abréger la vie du patient. Cela la distingue de l'euthanasie active car la mort est naturelle, contrairement à l'euthanasie active, où la mort est due à une injection létale. /!\ Il ne faut pas confondre euthanasie et aide au suicide (ou encore suicide assisté) où le patient accomplit lui-même l'acte mortel, guidé par un tiers qui lui a auparavant fourni les renseignements et/ou les moyens nécessaires pour se donner la mort. Par ailleurs, l'euthanasie est également classée par

transgressé. L’euthanasie affaiblie donc ce principe fondamental. Pour pouvoir aborder le point de vue de David Hume, il faut distinguer le suicide de l’euthanasie. L’euthanasie est considérée comme une aide au suicide, c’est la mort donnée par un tiers (ce qui est un changement fondamental d’un point de vue juridique). Dans son « essai sur le suicide », Hume oppose la philosophie à la superstition et à la religion : « L’un des avantages considérables de la Philosophie est qu’elle constitue un

saurait épargner la pratique de l’euthanasie dans une société où la longévité s’accroît régulièrement avec ses souffrances et multiples dépendances, ce qui pèsera de plus en plus sur le budget de la Santé, d’où certaines tentations... Aide au suicide - suicide assisté Méthode qui consiste à mettre du poison dans la seringue et à faire appuyer par le malade afin d’éviter les poursuites. Acharnement thérapeutique Poursuivre un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au

acceptées par la législation, d'autres non. On emploie le mot aide au suicide pour désigner le fait de fournir un environnement et des moyens nécessaires à une personne pour qu'elle se suicide, quelles qu'en soient les motivations. Dans ce cas, c'est le « patient » lui-même qui déclenche sa mort et non un tiers. L'aide au suicide demande une manifestation claire et libre de la volonté de mourir, ce qui la distingue de l'incitation au suicide. Un autre usage abusif du mot est son application aux soins