Anticholinergique

voir orale. Interventions Infirmires Inhibition de la scrtion de la srotonine et des peptides gastroentrohpatiques, inhibition des scrtions dhormone de croissance, dinsuline et de glucagon. Par voie orale Intramusculaire Sous-cutane 1Les Anticholinergiques Imodium p.828 Lomotil p.423 2Les Topiques Sous salicylate de Bismuth (Peptobismol,Donnagel) p.157 VOIES ADMINISTRATION Soulagement de la diarrhe aigue et chronique non spcifique et suppression des symptmes. 3 Les chlateurs des acides biliaires

▪ IM : enoxacine, erythromicyne, millepertuis SPIRIVA® (tiotropium) ▪ Bronchodilatateur anticholinergique longue durée d’action ▪ Indiquée ds les BPCO ▪ Posologie : 1prise/jour à heure fixe dans la journée ▪ EI : sécheresse buccale, constipation, candidose, nausée, céphalée ▪ CI : Hypersensibilité, glaucome à angle fermé ▪ IM : avec d’autres anticholinergiques SERETIDE DISKUS 500® (fluticasone+salmétérol) ▪ Corticoïde + ß-2 mimétique longue durée d’action

MESSIN-02/2011 EVOLUTION DES IDEES SUR LE PLAN PHARMACOLOGIQUE 1880 : Charcot traite des patients avec de la scopolamine (substance qui se révèlera plus tard un anticholinergique). 1913 : la L-dopa est isolée à partir des fèves et des haricots. 1949 : mise en évidence de l’acétylcholine dans le cerveau. Recherche de médicaments anticholinergiques qui s’avèrent améliorer le tremblement et la rigidité des patients. 1960-1968 : mise en évidence de l’effet thérapeutique de la Ldopa sur les signes parkinsoniens

antipsychotiques de 1ère génération (chlorpromazine, halopéridol, flupentixol, zuclopenthixol…). Ils sont plutôt utilisés aujourd’hui en 2ème intention dans le traitement de la schizophrénie. Ils peuvent entraîner des effets extra-pyramidaux et souvent anticholinergiques, et des troubles du rythme. – Les neuroleptiques atypiques ou de 2ème génération (amisulpride, aripiprazole, clozapine, olanzapine et rispéridone). Ils sont souvent utilisés en 1ère intention dans le traitement de la schizophrénie, leur

Antiagrégant plaquettaire 500 mg poudre SCA ST + et non ST + Dilué dans 5 ml d'EPPI 250 mg IVD CI : allergie, syndrome de Fernand Widal CI relative : Ulcère gastrique ® ndes 07/02/2005 Spécialités Présentation ATROPINE ® Sulfate d'Atropine Anticholinergique ATROVENT ® Bromure d'Ipratropium Bronchodilatateur 0,5 mg / 1 ml indication Bradycardie mal supportée Pré médication lors des inductions anesthésiques (Célocurine, Kétamine) Intoxication aux anticholinestérasiques, aux organophosphorés A

gastrique afin d’éviter que la vésicule biliaire ne soit stimuler davantage. Une cholécystostomie peut être pratiquée en vue de drainer le liquide purulent de la vésicule biliaire obstruée. La prise d’AINS permet de soulager la douleur. Des anticholinergiques peuvent aussi être administrés afin de réduire la sérétion de la bile et de neutraliser les spasmes des muscles lisses. Cholélithiase : Le traitement de la cholélithiase dépent du stade de la maladie. Les médicaments visant à dissoudre les

(prescription de Benzodiazépines)· Dépression ( peut être associé à des antidépresseurs)Effets extrapyramidaux : · Dyskinésie, Dystonie · Syndrome parkinsonien : hypertonie, akinésie, tremblements au repos (prescription d’antiparkinsoniens, anticholinergiques · Hypotension · Enurésie· hypersialorrhée· Sécheresse buccale (traitée par salive artificielle) · Constipation (association a des laxatifs)· Tachycardie· Hyperprolactinémie· Dysrégulation thermique· Prise de poids· Hyperglycémie· Syndrome de

et vomissements. Effets indésirables : Antagoniste D2 d'action centrale : syndrome extrapyramidal (rigidité, akinésie), hypotension artérielle, bradycardie. ; a ntagoniste D2, HI et MI : somnolence, effets anticholinergiques (sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, tachycardie, palpitations, mydriase, troubles de l'accommodation) ; antagoniste 5HT3 : céphalées, bouffées de chaleur ; a ntagoniste NKI: 

antidépresseur imipraminique d’activité intermédiaire (stimulant de l’humeur susceptibles de corriger la tristesse pathologique qui définit la dépression), agissant par des mécanismes d’action multiples (effet noradrénergique, sérotoninergique, anticholinergique central et périphérique, alpha-adrénolytique à forte dose), réputés pour être (avec les IMAO) les antidépresseurs les plus efficaces notamment dans les dépressions endogènes. La posologie est 1 comprimé et demi le matin, puis 1 comprimé midi

apomorphine) chez le parkinsonien. Effets indésirables | - Neuropsychiques : . Dyskinésies précoces (torticolis spasmodique, crises oculogyres, trismus...). . Dyskinésies tardives survenant lors de cures prolongées. Les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation des symptômes qui peuvent être permanents chez certains patients. Le syndrome peut être masqué lors de la reprise du traitement, lors de l'augmentation de la posologie ou lors de l'administration