Art naïf

de conceptions. L’étude est un préalable nécessaire à la conception puisqu’elle détermine tous les éléments que le concepteur doit prendre en compte afin de justifier de son parti d’aménagement. Il doit tour à tour porter un regard critique, naïf, sensible, neutre et objectif. Il doit confronter au site ses connaissances historiques, botaniques. En effet, ce n’est qu’en visualisant toutes les facettes qu’il aura une approche globale et une connaissance suffisante de la genèse, des objectifs

penser que leurs accusations sont fondées. En effet, en reprenant la fameuse page de J.-J. Rousseau dans l’Emile, il serait simple de montrer que la fable Le corbeau et le renard peut être qualifiée d’immorale. L’enfant un peu ignorant et naïf y verra le vol comme un art et se croira autoriser à utiliser la flatterie pour vivre sans travailler, aux dépens de ceux qui l’écouteraient. Il en va de même pour le loup et l’agneau, où le narrateur déclare que  « la raison du plus fort est toujours la meilleure »

du premier paragraphe. Le narrateur établit une relation entre sa physionomie et son caractère: « esprit simple », « sa physionomie annonçant son caractère ». Il décrit ses origines généalogiques: c'est un enfant naturel. Candide est un personnage naïf, incapable de duplication ni de dissimulation. Toutefois, il est ingénu mais pas sot: « il avait le jugement assez droit ». Cela laisse une perspective d'évolution, et montre qu'il est capable d'éducation et de progrès. Candide est en porte-à-faux

à la différence du conte ou de l'épopée qui relèvent à l'origine de la transmission orale. Le ressort fondamental du roman est alors la curiosité du lecteur pour les personnages et pour les péripéties, à quoi s'ajoutera plus tard l'intérêt pour un art de peindre. Au fil des derniers siècles, le roman est devenu le genre littéraire dominant avec une multiplicité de sous-genres qui soulignent son caractère polymorphe. Œuvre d'imagination constituée par un récit en prose d'une certaine longueur, dont

les fait déjà amis alors que « partout » = nulle part + joue de ses amies + droit d’entrée et « Au dernier regard qu'elle lui jetta, R crut sa visite nécessaire » = rencontre des vraissemblant de société et « 2 danses » ne suffit pas R = innocent, naïf et la petite muse « il fut invité par cette femme, qu'il prit pour une grande dame, et eut ses entrées chez elle » -> il s’est trompé de ce que semble le succès et ne comprend pas les paroles de Re => défaite R croyant séduire alors que « Il avait

faire savoir. Certains y ont vu la magie du conte, d’autres un poème, par la concision comme dans l’exercice du haïku, art que pratique Yuko, le héros qui contre l’avis de son père prêtre choisit sa voie : devenir poète Yuko part retrouver un maître de cet art et tous deux partagent l’amour pour une belle femme disparue dans la neige. Neige comme la pureté du blanc, le côté un peu naïf, voire décalé de ce court récit nous détourne de la vraie vie à moins que ce ne soit cela la vraie vie. Les seules remarques

l'autorité du roi, et nul n'avait le droit d'exprimer ce qu'il voulait, et surtout pas son opinion, sur des choses diverses. Le roi était totalement hostile à la liberté de pensée. Louis XV était au pouvoir, quand Candide fut édité, et c'était un roi naïf. Ici, Voltaire nous fait part de nombreuse critiques politiques. Par exemple, au chapitre XIX, le juge profite de l'argent de Candide, et se contrefiche des malheurs qui lui sont arrivés : «  Le juge commença à lui faire payer dix mille […] pour

charmé par DJ (tout comme les femmes) | Femmes=proies pour DJSubissent l’infidélité de DJ | | Acte2sc2 : séduction de Charlotte | Flatterie, invitation, exagération de son amour, arguments religieux≠hasard, personnification du ciel, art persuader, prolepse, art oratoire, lecon séduction, mensonge,sophisme, blâme l’honorable, baroque (masque), antiphrses ds sa déclaration, hyperbole (femme unique), verve | Joue un role vis-à-vis de C, complice de DJ, « élève » de DJ, témoin de la scène, aliéné

« La littérature veut instruire ou plaire; parfois son objet est de plaire et d'instruire en même temps » écrit Horace, poète latin, dans son art poétique. En quoi l'ambition du conte philosophique est- elle justement de plaire et d'instruire en même temps ? « Un livre n'est excusable qu'autant qu'il apprend quelque chose ». D’après Voltaire, la littérature, le livre doit être porteur d’un précepte, doit enseigner « quelque chose » au lecteur. I- Le conte philosophique: des histoires très plaisantes

En 1998, il prend un aller simple pour Paris. Il peint dans la rue, sur les quais de la Saine. Il vit une vie de bohème et fait la rencontre du Directeur Éric Landau de la Galerie W à Montmartre, Paris. Il lui permet d’exposer et de vivre de son art. Troy est aujourd’hui un artiste permanent de son mentor. C’est un artiste qui travaille beaucoup avec son coeur, qui pense la vie, l’interprète avec tous le démons qu’il a exorcisés, sa peinture aurait pu être sombre et grise