Arthur Cecil Pigou

Coase R. - Convention pour la biodiversité - Développement durable - Droits de propriété - Effet externe - Empreinte écologique - Epargne véritable - Forrester J. - Hans Jonas - Indice de planète vivante - Marché de droits à polluer - Pigou A. - Principe de précaution - Principe de responsabilité - Solow R. - Taxe pigouvienne - Taxe carbone 1 DUEDD-UE2-Fondamentaux dans le cadre du développement durable – module 1 : Economie – dossier 2 Environnement – DIEMER Arnaud PLAN

individus avec la différence entre les encaissements et les décaissements. De plus certaines dépenses ne sont pas prévus et certaines recettes sont incertaines ce qui justifie bien la demande de monnaie des agents économiques. C'est avec Arthur Cecil Pigou que se découvre la théorie de la demande de monnaie. Cela se définit comme M = k*P*Y, où M est la demande de monnaie, Y est le total des ressources, P est le niveau des prix et k est le multiplicateur. Ici k est égal à 1 sur la vitesse de circulation

d’achat présent ou à venir avec la crise actuelle. Les revenus des ménages à court terme sont peu sensibles aux évolutions des taux d’intérêt (épargne de précaution et épargne populaire). A plus long terme le taux d’intérêt peut avoir un effet. Arthur Cécile Pigou part du principe que l’individu veut conserver à l’identique son épargne dans le temps : « théorie des encaisses réelles ». Ex : épargne = 200€ en 2010 jusqu’en 2022. Il s’agit du pouvoir d’achat de l’épargne, si le taux d’intérêt augmente

néoclassiques (Pigou, Samuelson…) vont admettre que l’Etat peut avoir une action correctrice dans certains cas. Arthur Cecil Pigou (1877 – 1959) fût nommé Professeur d’économie politique à l’Université de Cambridge afin de succéder à Alfred Marshall. Pigou et Keynes partagèrent une réelle amitié l’un pour l’autre tout en ayant une approche intellectuelle différente. Le principal ouvrage de Pigou, Weath and Welfare (1912), introduit l’économie du bien être dans l’analyse économique. En fait, Pigou a été le

Son objectif est d'orienter la consommation vers l'achat de voitures moins polluantes par l'octroi d'un bonus et inversement de taxer l'achat des voitures fortement émettrices de CO2. → Idée des faits des externalités négatives déjà poser par Arthur Cécil Pigou ( économiste mort en 1955), il avais proposer une taxe imputable au pollueur. → La question de l'environnement n'est pas récentes. → Les écotaxes imposent aux pollueurs un coût supplémentaires en plus des coûts privés marchands. → A

ressources) continue d'être fortement dépendante en ressources naturelles (énergies fossiles, matières premières) [25]. Dès le début du XXe siècle, Arthur Cecil Pigou, dans ses travaux sur l'économie du bien-être, va prendre en considération les effets non désirés qui peuvent découler d'une relation marchande en inventant la notion d'externalités. Pigou proposera par la suite la création d'une taxe qui portera son nom pour corriger les externalités négatives, ce qui donnera plus tard naissance au principe

Europe occidentale. Dans les sociétés anglo-saxonnes, des divergences autour du libéralisme classique portent surtout sur le degré interventionniste et les idées keynesiennes depuis la création du FMI. Des débats qui opposeront l’école de Welfare de Pigou avec l’école du Public Choice (James M. Buchanan) ou l'école de Chicago (Milton Friedman, Ronald Coase). Aujourd'hui, la philosophie libérale est portée notamment par des économistes comme Amartya Sen, des sociologues comme Raymond Boudon, et des

bien-être : - Certaines activités ne sont pas comptabilisées alors qu’elles contribuent au bien-être. Il en est ainsi des services gratuits (activités domestiques, éducation des enfants, le bricolage,…). Un économiste de l’école du bien-être Arthur Cecil PIGOU (américain) : «  Un homme qui épouserait sa femme de ménage contribue à baisser le PIB. » - La qualité des biens est ignorée. En effet, le PIB est un indicateur quantitatif qui ne donne aucune information sur la qualité des produits (les

valeur réelle des encaisses monétaires sur la consommation est ce qu'on appelle l'effet PIGOU 8. L'effet KEYNES quant à lui stipule que l'augmentation des encours réels - conséquence d'une baisse des prix et des taux d'intérêts - agit de manière indirecte sur l'épargne à travers l'augmentation de l’activité économique, soutenue par l’investissement et la consommation. Ces deux mécanismes (effet PIGOU et effet KEYNES) ajoutés au phénomène de l'illusion monétaire dont peuvent être victime les

1ère fois associer l’externalité à l’économie du bien-être (welfare economist). Bien que Marshall utilise en 1er ce terme, il ne va pas le conceptualiser. C’est Cécile Arthur PIGOU va écrire un livre qui s’appelle «economics of welfare». Il va faire une distinction entre les externalités positives et négatives. L’économie au sens de Pigou énonce que «si la production d’une firme entraîne une nuisance affectant directement et sans compensation possible par le marché le bien être d’autres agents économiques