Au nom de tous les miens

français. La seconde analyse est un commentaire composé : il te montre ce que tu dois faire à l’écrit du bac de français. L’extrait commenté va de « J’avais marqué le temps de mon départ d’Amiens. » jusqu’à « et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens.« 1 – Analyse linéaire pour l’oral L’abbé Prévost a rédigé l’Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut en 1731. Jugé scandaleux, le roman est condamné en 1733 et 1735. Manon Lescaut met en scène la passion naissante du chevalier

l'ascèse ne demande-t-elle pas plus de volonté que jamais ? La conception que Schopenhauer se fait de la volonté n'est-elle pas contradictoire ? Une volonté est-elle possible sans sujet voulant. Schopenhauer ne confond-il pas la partie avec le tout ? Tous nos désirs sont-ils nécessairement l'expression d'un manque ? N'est-il pas possible de se donner une forme de perfection par l'intermédiaire de ses désirs. Schopenhauer nous dit que les désirs sont les expressions de notre plus pure imperfection. Ils

mi-voix, comme ChristianC'est qu'il fait nuit,Dans cette ombre, à tâtons, ils cherchent votre oreille. ROXANELes miens n'éprouvent pas difficulté pareille. CYRANOIls trouvent tout, de suite ? oh ! cela va de soi,Puisque c'est dans mon cœur, eux, que je les reçois ;Or, moi, j'ai le cœur grand, vous, l'oreille petite.D'ailleurs vos mots à vous descendent : ils vont plus vite,Les miens montent, Madame : il leur faut plus de temps ! ROXANEMais ils montent bien mieux depuis quelques instants. CYRANODe

Lecture Analytique Manon Lescaut - Abbé Prévost Le livre Manon Lescaut, écrit par Antoine François Prévost, plus connu sous le nom d'abbé Prévost, est un roman-mémoires qui se révèle aussi bien à étudier par son histoire et ce qu'elle a comme spécificité que pour la critique qui a été faite au moment de sa sortie : ainsi, publié en 1731, il a reçu des critiques tellement importantes, dus au fait qu'il a été jugé scandaleux pour certains côtés "immoraux" de l'histoire, qu'il fut condamné à être

Christian. C'est qu'il fait nuit, Dans cette ombre, à tâtons, ils cherchent votre oreille. ROXANE Les miens n'éprouvent pas difficulté pareille. CYRANO Ils trouvent tout de suite ? oh ! cela va de soi, Puisque c'est dans mon coeur, eux, que je les reçois ; Or, moi, j'ai le coeur grand, vous, l'oreille petite. D'ailleurs vos mots à vous, descendent : ils vont plus vite. Les miens montent, Madame : il leur faut plus de temps ! ROXANE Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants

Christian. C'est qu'il fait nuit, Dans cette ombre, à tâtons, ils cherchent votre oreille. ROXANE Les miens n'éprouvent pas difficulté pareille. CYRANO Ils trouvent tout de suite ? oh ! cela va de soi, Puisque c'est dans mon coeur, eux, que je les reçois ; Or, moi, j'ai le coeur grand, vous, l'oreille petite. D'ailleurs vos mots à vous, descendent : ils vont plus vite. Les miens montent, Madame : il leur faut plus de temps ! ROXANE Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants

Christian C'est qu'il fait nuit, Dans cette ombre, à tatons, ils cherchent votre oreille. ROXANE Les miens n'éprouvent pas difficulté pareille. CYRANO Ils trouvent tout de suite ? oh ! cela va de soi, Puisque c'est dans mon coeur, eux, que je les reçois ; Or, moi, j'ai le coeur grand, vous, l'oreille petite. D'ailleurs vos mots à vous descendent : ils vont plus vite, Les miens montent, Madame : il leur faut plus de temps ! ROXANE Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants

Bonjour à tous, J'ai une question à faire sur ce corpus de texte et j'aurai besoin de votre aide s'il vous plait.. 1er texte : SCENE 6, acte II BRITANNICUS, RACINE Ma princesse, avez-vous daigné me souhaiter ? Songiez-vous aux douleurs que vous m'alliez coûter ? Vous ne me dites rien ! Quel accueil ! Quelle glace ! Est-ce ainsi que vos yeux consolent ma disgrâce ? Parlez : nous sommes seuls. Notre ennemi, trompé, Tandis que je vous parle, est ailleurs occupé. Ménageons les

c'est l'merdier. Continue à creuser copain continue à creuser. Et les coeurs qui s'envolent. Et l'courage et l'espoir qu'on écrase enfin qu'on essaie. Et moi qui m'perds dans le triangle des Bermudes. Et les miens qui ramassent et les miens qui avancent. Et les miens qui m'soutiennent et les miens que j'rejoins toujours. Et moi qui pousse ma voix comme une machette comme une fronde comme une balise. C'est pour mon salut. J'ai plus envie de rien J'ai plus envie de toi

   Mes chers concitoyens,   Je veux tout d’abord vous dire le plaisir et la joie qui sont miens de vous retrouver aujourd’hui, pour ce moment de convivialité partagé et pour la première fois, en ma nouvelle qualité de maire, même si la plupart d’entre vous me connaissent bien et depuis déjà longtemps. Rassurez-vous, je serai bref car je sais que la lecture du menu a aiguisé les appétits et que vous n’êtes pas venus que pour boire mes paroles. Cette année, nous avons décidé de réserver ce jour