Aurangzeb

L’histoire de l’Inde Empire moghol Les grands Moghols sont les six premiers empereurs de cette dynastie, Bâbur (1526-1530), Humâyûn (1530-1556), Akbar (1556-1605), Jahângîr (1605-1627), Shâh Jahân (1627-1658) et Aurangzeb (1658-1707 ).En 1526, Bâbur défait les Lodi et tue Ibrahim Lodi lors de la première bataille de Panipat. Cet événement marque la fondation de l’Empire moghol et le début du règne de Bâbur. L’empire moghol est fondé en Inde par Bâbur en 1526 . Les autres souverains de cette dynastie

l’édification. En tout, vingt huit types de pierres fines ou ornementales polychromes, provenant du monde entier ont été utilisés pour composer les motifs de marqueterie incrusté dans le marbre blanc. A partir de 1658, il fut emprisonné par son fils Aurangzeb dans une partie du fort rouge, le frère aîné de celui-ci, Dârâ Shikôh étant pressenti comme le successeur de Shâh Jahân. Pendant ces huit années d’emprisonnement, il fut soutenu par sa fille Jahanara Begum qui prit soin de lui. A la mort

ciselure du marbre, versets du Coran… A l'origine, le Taj Mahal n'avait été prévu que pour abriter la seule tombe de Mumtaz Mahal. Shah Jahan avait prévu une réplique du Taj en marbre noir pour lui même, mais c’était compter sans son fou de fils, Aurangzeb, qui après avoir fait tuer ses trois frères fit emprisonner Shah Jahan huit ans au fort rouge d’Agra, jusqu’à sa mort en 1666. Finalement Shah Jahan sera enterré à côté de son épouse, Mumtaz Mahal, dans le Taj même et son cénotaphe représente le

christianisés à 90%. Les missionnaires continuent à exercer une forte influence et convertissent les personnes dans les régions tribales arriérées. Le cas des conversions à l'Islam est assez similaire. Si certains empereurs ont convaincu, comme Aurangzeb, des populations entières en combattant, les conversions pacifiques n'en ont pas moins existé tout au long des longues périodes de pouvoir Musulman en Inde. Elles concernaient déjà des Intouchables ainsi que certains courtisans du Palais qui ont

Melisa Kilaj Introduction à l’Islam en Inde Printemps 2022Travail écrit 1 Pour pouvoir retracer les grandes lignes de l’histoire des communautés musulmanes en Inde, alors il est question de cinq grandes périodes que nous allons décrire : les origines des communautés musulmanes en inde, la période médiévale, la période prémoderne, la période coloniale, et la période moderne. 1. Les origines des communautés musulmanes en IndePremièrement, avant que l’islam ne gagne l’Asie

marché commercial s’étendait non seulement au niveau européen mais aussi entre l’Inde et les pays d’Asie de l’ouest et de l’est. Cette domination commerciale indienne s’explique par la crise de l’Empire moghol. Après une succession d’empereurs, dont Aurangzeb qui a connu l’entrée dans une phase de difficultés, en 1730, la structure politique a tendance à la dissolution avec une quasi-indépendance de plusieurs provinces comme le Bengale qui reconnaissaient auparavant la suprématie du trône de Dehli. Ainsi

musulmane qui, avec Aurangzeb (1658-1707), deviendra fanatisme et contribuera sûrement au déclin de l'empire, en lui aliénant, entre autres supports, les Rajputs loyaux depuis le temps d'Akbar. Déjà aussi sous Chah Djahan, le piège s'entrouvre où s'enlisera Aurangzeb. Ce piège c'est le Deccan, précisément les sultanats de Bijapur et de Golconde. Les campagnes successives, coûteuses et dévastatrices, pour annexer ces deux royaumes commencent dès 1631. Elles occuperont Aurangzeb de 1681 à sa mort.

1526 à la Première bataille de Pânipat. Ses empereurs furent en général assez tolérants sur le plan religieux, le plus remarquable étant Akbar (1542-1605) dont la foi universaliste lui valut des accusations d'apostasie de la part de l'orthodoxie. Aurangzeb (1618-1707), par contre, tenta d'imposer l'islam comme religion exclusive. La Chine a joui jusqu'au milieu du XXe siècle d'un degré appréciable de liberté religieuse avec pour conséquence diversité et syncrétisme. Néanmoins, la rivalité de certaines

atteint son apogée (élégance, richesses, symétrie) : le Taj Mahal (mausolée destiné à sa femme) • Aurangzeb (1658-1707) sera le dernier grand empereur Moghols. Musulman fanatique, il applique la loi coranique stricte. Il interdit la production des images, bannit de la cour, musiciens et chanteurs, ordonne la destruction des temples hindous (ou les convertit en mosquées). Lorsque Aurangzeb meurt en 1707, l’Empire est déjà en voie de désintégration (rébellions Sikh, Rajputs, Pachtounes et Mahrattes) :

flaqué d’oies. Les murs sont décorés de paons, monture de Sarasvatî la parèdre de Brahmâ. Face au saint des saints se trouve une énorme tortue en argent. A l’origine, construit au XIVe siècle, le temple fut détruit à la fin du XVIIe par Moghol Aurangzeb, un empereur musulman intégriste. La construction de ce sanctuaire est liée à un mythe. Un passage du Padma Purana raconte qu’un jour Brahmâ tua trois démons en lâchant sur eux trois pétales de lotus qu’il tenait dans sa main. A l’endroit où sont