Aurige

Mirmillons étaient armés comme les Gaulois mais portaient un casque en forme de poisson. Ils affrontaient les Thraces et les Rétiaires (d’autres types de gladiateurs). Certains gladiateurs combattaient à cheval ou sur des chars conduits par les auriges. Les cavaliers portaient une lance, un casque à visière et un petit bouclier rond. Les Essédaires (un cocher et un lanceur de javelot dos à dos sur un char léger) affrontaient des gladiateurs à pied. Les belluaires ou bestiaires (le plus

Chaque faction se différencie par une couleur et possède des annexes dans l’empire romain pour s’alimenter en animaux et en esclaves. Tout le personnel est sous la responsabilité d’un chef : le quadrigarum. On observe une spécialisation des rôles : Aurige conducteur de chars Hortator concurrent qui a pour but de favoriser la course de son char pendant la compétition. Sparsor employé qui pendant la course jette de l’eau sur les narines des chevaux pour faciliter sa course. Conclusion : une histoire

sculpture du ve siècle av. J.-C. le sommet de l'esthétique classique, qui inspirera encore la Renaissance et le néo-classicisme des xviiie et xixe siècles européens. La période classique est aussi l'époque de sculptures monumentales, parfois en bronze (aurige de Delphes), parfois dans des matériaux moins usités, comme les sculptures chryséléphantines (placage d'or et d'ivoire) de Zeus ou d'Athéna, que Phidias a réalisées pour leurs temples respectifs, à Olympie (une des sept merveilles du monde) ou à Athènes

tous les auteurs à la base du mouvement humaniste intègrent le sport dans l'éducation (relire par exemple Gargantua). Chaque époque a eu son "sport-roi". L'Antiquité fut ainsi l'âge d'or de la course de chars. Pendant plus d'un millénaire, les auriges, cochers des chars de course, étaient des "stars" adulées par les foules dans tout l'Empire romain. Le tournoi, qui consiste à livrer une véritable bataille de chevaliers, mais « sans haine », fut l'activité à la mode en Occident entre le XIe et le

l’ensemble du même avis sur ce point et jugent utile que ni les musiciens, ni les lutteurs, ni les auriges, ni ceux qui jettent de l’eau sur les chevaux, ni enfin ceux qui occupent une fonction dans les courses sacrées ne soient considérés comme exerçant une activité infâmante. Des garçons de piste, les hortatores, portant des tuniques aux couleurs des factions et munis d’un fouet, étaient chargés d’aider les auriges à tourner autour des bornes. D’autres, sous le nom de moratores, « retardateurs », intervenaient

côtoyant le théâtre, il y a d'autre spectacles vivants tel que : Les courses de chars : qui constituaient le sport vedette de l'antiquité. Tirés par un, deux, trois ou quatre chevaux, les chars de compétition étaient conduits dans un cirque par des auriges qui avaient un statut et des revenus à la hauteur de leur popularité, qui était considérable. Les combats de gladiateurs : combats de combattants professionnels, esclaves ou non (esclaves affranchis pour leurs exploits ou engagés volontaires, en

tous les auteurs à la base du mouvement humaniste intègrent le sport dans l'éducation (relire par exemple Gargantua). Chaque époque a eu son « sport-roi ». L'Antiquité fut ainsi l'âge d'or de la course de chars. Pendant plus d'un millénaire, les auriges, cochers des chars de course, étaient des « stars » adulées par les foules dans tout l'Empire romain. Le tournoi, qui consiste à livrer une véritable bataille de chevaliers, mais « sans haine », fut l'activité à la mode en Occident entre le xie et

chars tirés par quatre chevaux. Il y avait aussi les courses de chars tirés par des poulains et une course de chevaux montés. Les conducteurs de chars étaient appelés des auriges. Contrairement aux autres athlètes, ils n’étaient pas nus, mais portaient une longue tunique. Les vainqueurs n’étaient ni les jockeys, ni les auriges, mais les propriétaires des chevaux. C’est ainsi que kyniska de sparte, femme et propriétaire d’une écurie, put devenir championne olympique. © Le Musée Olympique, 2e édition

Girolamo Mercuriale, tous les auteurs à la base du mouvement humaniste intègrent le sport dans l'éducation (cf. Gargantua). Chaque époque a eu son « sport-roi ». L'Antiquité fut ainsi l'âge d'or de la course de chars. Pendant plus d'un millénaire, les auriges, cochers des chars de course, étaient des « stars » adulées par les foules dans tout l'Empire romain. Le tournoi, qui consiste à livrer une véritable bataille de chevaliers, mais « sans haine », fut l'activité à la mode en Occident entre le XIe et

tous les auteurs à la base du mouvement humaniste intègrent le sport dans l'éducation (relire par exemple Gargantua). Chaque époque a eu son "sport-roi". L'Antiquité fut ainsi l'âge d'or de la course de chars. Pendant plus d'un millénaire, les auriges, cochers des chars de course, étaient des "stars" adulées par les foules dans tout l'Empire romain. Le tournoi, qui consiste à livrer une véritable bataille de chevaliers, mais « sans haine », fut l'activité à la mode en Occident entre le xie et le