Aurige

aux thermes, la chasse prend une énorme importance. * La monarchie : 753 av J.C. - 509 av J.C Les vestiges archéologiques nous confirment que les courses de chars sont les pratiques physiques le plus répandues. Les cochets, qu’on appelle les Auriges, et les chevaux, sont de véritables stars. C’est vraiment le sport le plus rependu à cette époque. Etaient aussi pratiqués la boxe, la lutte et l’athlétisme. * République : 509 av J.C. - 27 av J.C. A cette date commence l’Empire Romain. A cette

sources littéraires que Polyzalos fut exilé en 466 BC. Cette statue illustre l’importance des cités occidentales grecques dans la littérature, la pensée et le domaine artistique. Elle ne présente pas l’homme dans sa nudité, car il est habillé comme un aurige ; une longue technique avec une ceinture à la taille. La statue suggère des formes harmonieuses plutôt que la réalité fidèle. La ceinture est placée très haute pour jouer sur les plis et verticaliser l’œuvre, la rapprochant des colonnes cannelées

temps de vouloir, et, comme sur un ordre donné d'avance, sa suite marine s'empresse. Voici les filles de Nérée, chantant un chœur, et Portunus, tout hérissé d'une barbe bleuâtre, et Salacia, les plis de sa robe lourds de poissons, et Palémon, le petit aurige, conduisant un dauphin ; voici, bondissant çà et là sur la mer, les troupes des Tritons : l'un souffle doucement dans sa conque sonore, l'autre oppose un tissu de soie à la flamme d'un soleil importun ; celui-ci tient un miroir sous les yeux de la

individu mais quand c’est un individu qui est représenté, les visage sont moins stéréotypé. Il y a un eu d’expression sur les visages, on va voir aussi que le sculpteur va abandonner la frontalité systématique. Les attitudes vont devenir plus variées. Aurige(conducteur de char) de Delphes (début du 5e Av J-C) le vainqueur d’une course de char, on a gardé que le conducteur. Un peu d’expression sur le visage, une certaine concentration mais aussi une certaine expression de fierté avec de la modestie traduit

sculpture du 5e siècle av. J.-C. le sommet de l'esthétique classique, qui inspirera encore la Renaissance et le néo-classicisme des le 18e et le 19 e siècle européen. La période classique est aussi l'époque de sculptures monumentales, parfois en bronze (aurige de Delphes), parfois dans des matériaux moins usités, comme les sculptures chryséléphantines (placage d'or et d'ivoire) de Zeus ou d'Athéna, que Phidias a réalisées pour leurs temples respectifs, à Olympie (une des sept merveilles du monde) ou à Athènes

caractérisée par un certain goût du faste, par l'ampleur de ses proportions, par une certaine tendance aussi à mêler dans le même édifice éléments ioniques et doriques. en Italie méridionale d'où proviennent sans doute d'aussi magnifiques statue que l' Aurige et ce relief connu sous le nom de Trône Ludovici, dans le Péloponnèse enfin où s'édifie, de 470 à 456, le temple dorique d' Olympie consacré à Zeus, l'une des 7 merveilles du monde. Ses 2 frontons sont traités comme ceux d' Egine et de Delphes ,

  d’œuvres   y   sont   rares   et   se   périment   vite,   contrairement  à  ce  qu’on  observe  dans  le  domaine  des  beaux  arts.  Mais,  revers  de  la   médaille,  le  sculpteur  risque  de  céder  au  découragement  à  la  vue  de  ces  Auriges  de   Delphes   (…)   déjà   sculptés.   Aucun   danger   de   ce   genre   ne   menace   le   juriste.   Dans   le   domaine   du   droit,   il   y   a   plus   qu’ailleurs   de   nombreux   chefs-­‐‑d’œuvre   à   créer,   petits   ou  grands,  à

Originellement, ces sculptures étaient entièrement ou partiellement peintes. Le rôle de ces immenses statues qui ornaient les temples était avant tout religieux. Or on commandait également des statues pour commémorer des événements historiques (aurige de Delphes en bronze) ou pour glorifier les vainqueurs des jeux olympiques (Kyniska, statue commémorative en bronze à Olympie). La peinture : Les vestiges de la peinture sont quasi absents et cela est dû tout d’abord à la nature vulnérable des

entre salles et gradins Sculpture * Au début, visage encore oriental, proportions moyennes, mais progressivement apparaissent des statues colossales et musclées, mais moins rigides : drapés, corps plus travaillé et moins raide, etc. (ex. Aurige de Delphes). Peu de sculptures de femmes, lesquelles étaient recluses au foyer. * Les statues deviennent de plus en plus athlétiques, dégagent une impression de force et de puissance, mais sévère. Ex : Zeus du cap Artemission * Discobole de

dieu, c’était l’empereur vivant. Les courses ont de plus en plus de succès : les spectacles offerts sont de plus en plus variés, les simples courses étaient agrémentées d’acrobaties en tous genres, attelages variés (biges, triges, quadriges,…). Les auriges connaissaient la gloire et recevaient des salaires exorbitants. Les jeux du cirque ont largement pris le pas sur des représentations théâtrales. Le lieu le plus fréquenté par les Romains est l’amphithéâtre de conception purement romaine. Le Colisée