Aux Feuillantines

Tout d’abord, nous pouvons constater que ses souvenirs sont très précis, au niveau des lieux et des couleurs, citons : « Cours Bréhant » (l.1, 6) ; « rue des Feuillantines » (l.11) et « ma chambre »(l.17) pour ce qui concerne les lieux, et pour les couleurs qui sont retranscrives de manière étonnante notamment dans la précision de ces dernières comme nous le voyons :  « bleu gris très pâle » (l.12) et  « l’encre

fait de dire « je » permet d’obtenir un effet de vérité puissant. Nathalie Sarraute raconte son passage au « cours de Bréhant » avec une très grande précision. En effet, « cours Bréhant » est une école qui à bien existé. De même pour la « Rue des Feuillantines » (L.11) L’auteure ne s’arrête pas qu’à la précision des lieux, mais aussi à celle de l’écriture et des couleurs. Les phrases tel que « mon écriture s’assagit, se calme … » (L.15) et « bâtonnets d’un bleu-gris très pâle » (L.12) en sont des bons

Victor HUGO (1802-1885) Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813 (extrait) Enfants, beaux fronts naïfs penchés autour de moi, Bouches aux dents d'émail disant toujours : Pourquoi ? Vous qui, m'interrogeant sur plus d'un grand problème, Voulez de chaque chose, obscure pour moi-même, Connaître le vrai sens et le mot décisif, Et qui touchez à tout dans mon esprit pensif ; - Si bien que, vous partis, enfants, souvent je passe Des heures, fort maussade, à remettre à leur

famille à Paris. Mme Hugo alla habiter alors près du Val-de-Grâce l'ancien couvent des Feuillantines. Victor Hugo, qui avait six ans, reçut avec ses frères des leçons d'un ancien prêtre marié, Larivière, excellent latiniste, qui lui apprit à aimer Virgile. L'enfant eut également à cette époque pour maître bénévole, le général Lahorie, alors proscrit et que Mme Hugo accueillit pendant quelque temps aux Feuillantines. Il continua ainsi des études peu suivies jusqu'en 1811. À cette époque, son père, devenu

plusieurs sentiments généraux. C’est ce que nous allons pouvoir étudier à travers les textes de ce corpus avec premièrement, « Milly ou la terre natale » d’Alphonse de Lamartine  publié en 1830 dans Harmonies poétiques et religieuses, ensuite, « Aux Feuillantines » de Victor Hugo publié en 1857 dans Les Contemplations et enfin, un poème plus récent, publié en 2001 par Yves Bonnefoy dans son recueil Les Planches courtes, « La Maison natale ». Nous nous demanderons ici quels sentiments du poète la maison

arbres Aux champs Aux Feuillantines Aux morts du 4 décembre Aux proscrits Bêtise de la guerre Bièvre Bon conseil aux amants Booz endormi C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde C'était la première soirée Canaris Ce qu'on entend sur la montagne Ce que c'est que la mort Ce que dit la bouche d'ombre (I) Ce que dit la bouche d'ombre (II) Ce qui n'a pas encore de nom Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813 Ce siècle

En 1819, avec ses frères ils fondent une revue littéraire. 2.L’homme célèbre : Il épouse Adèle Foucher et a cinq enfants. Il continue à écrire des poèmes des romans et des pièces de théâtre qui commencent à avoir du succès (dont « aux feuillantines » qu’on va étudier). Au départ il était royaliste il devient démocrate. Pour cela il veut participer au pouvoir il devient député et il finit par lutter contre Napoléon III. Après un coup d’état il s’exile d’abord en Belgique puis sur l’île de

les valeurs du combats sont inculqués dès la jeunesse. Pour poursuivre, nous allons étudier le cas du « Maike ». Dans tous les textes, tels que « Fonctions du poète », « Aux Feuillantines » ou encore « J’écrirai des poèmes » il s’agit d’inculquer quelque chose au lecteur ou au personnage du poème. Dans « Aux Feuillantines » il s’agit de la Bible qui fait apprendre la croyance et ses histoires aux deux frères Hugo, quand aux «Fonctions du poète » il est décrit comme celui « Ramassant la tradition »

latin. Voyages : Victor Hugo, durant son enfance, à effectué plusieurs voyages suite au métier de son père, des voyages qui l’ont marqués tel son voyage à Naples ou même celui en Espagne. Les Feuillantines : Les feuillantines sont des religieuses, Victor Hugo les évoques dans son poème intitulé « Aux Feuillantines » car il entre dans la pension Cordier en 1815 avec son frère. C’est une pension religieuse qui fait partie de son enfance. Adèle Foucher : Adèle Foucher se marie avec Victor Hugo le 12 octobre

condamné au bannissement. Il se cache alors chez Sophie Hugo, rue de Clichy, avant de trouver refuge dans la chapelle désaffectée du jardin des Feuillantines entre 1809 et 1812. Les enfants, qu’il entourait de son affection et qu’il initiait au latin, ignoraient son identité et voyaient en lui un parent. A la fin de 1810, il est arrêté aux Feuillantines et incarcéré à Vincennes puis à La Force. Il meurt en octobre 1812, exécuté. Afin de rejoindre son mari en Espagne, Sophie Hugo et ses enfants