Bal masqué

elle présente une palette de sentiments contrastés - serait-on en présence d'une personnalité schizophrène? Dans la seconde partie, la Bonne dame est allée au bal, elle annonce alors la fête qu'elle organise pour l'anniversaire de Boris. Il y a dans cette deuxième partie un changement significatif : Johanna porte maintenant un masque de cochon. L'acteur qui jouait Johanna joue maintenant Boris, que l'on voit pour la première fois sur scène. Guy Pion est remplacé par Sébastien Dodge qui donne une

Texte 2 : La scène du Bal L'extrait, pris du Ravissement de Lol V. Stein de Marguerite Duras, met en scène le dernier moment que passeront Lol V. Stein et Michael Richardson puisque ce dernier la quittera lors de ce bal pour une femme, Anne-Marie Stretter. Il semble intéressant d'étudier dans cet extrait les différents changements qu'ont subi les protagonistes, comme le coup de foudre de Anne-Marie Stretter et Michael Richardson pendant que Lol V. Stein observait avec attention ce qui se

même, car c’est un phénomène qui se répète et se reproduit depuis un nombre « x » d’années. Par exemple, le bal des finissants du secondaire est un exemple qui montre très ce qu’est un fait social. En premier lieu, le bal est marqué par sa généralité. Le bal est toujours, ou presque, aux mêmes endroits, que ce soit dans des hôtels, des salles, etc. et est toujours à la même heure. Le bal comprend cet aspect de régularité et représente bien le fait qu’un fait social est pratiquement toujours la

Clèves après son mariage avec le prince de Clèves se pare pour assister au bal, à la cour d'Henri II . Cet extrait est une description de la rencontre entre Mme de Clèves et M. de Nemours. Dans une premières partie nous mettrons en évidence les points communs entre les conditions de leur rencontre et celles qui ont lieu dans les contes féeriques. La rencontre de Mme de Clèves et M. de Nemours a lieu durant le bal organisé par le roi, On peut faire un rapprochement entre les circonstances

en pleine Renaissance. Le duc de Nemours, un éblouissant gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée. 2. Lecture du texte : Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la

c'est t-il passé ensuite ? Mathilde reprit sa confidence : - Arrivée à la soirée, j'étais avec mon mari nous étions seuls et au même moment, un homme nommé Patrick m'invita à danser, nous fîmes plus connaissance avec lui, et à la fin du bal, comme nous n'habitions pas loin, il nous a raccompagné à la maison. Nous étions rentrés, et tout à coup, je me suis aperçue que je n'avais plus le collier. J'étais totalement affolée et j'ai tout de suite eu le réflexe d' ouvrir la porte pour voir

Le bal de la vaubyessard I/ Deux univers contrastés, incompatibles : l'échappée impossible A/ Un univers aristocratique et snob 1. Un récit de voyage aux nombreux clichés (Italianisme à la mode) Analyse détaillée : • verbe "vantait", nom "grosseur" ==> superficialité touristique. • Procédé de l'énumération => en fait un véritable dépliant • des lieux à la mode, qu'il faut avoir visité, dont il faut parler ensuite : • des noms ou des qualifications stéréotypées (les roses, le clair de

en pleine Renaissance. Le duc de Nemours, un éblouissant gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée.  PASSAGE A ETUDIER :  Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la

Dans son roman Le Bal paru en 1930, Irène Némirovsky, conte la vie de nouveaux riches. Ce livre débute comme une innocente blague d’enfant. Antoinette, est dans un état second. Suite à une décision de sa mère, pour des raisons douteuses. La jeune Antoinette, frustrée, blessée parce qu’elle considère comme une injustice, apporte à ce problème une réponse d’enfant, instinctive, cruelle et dé-raisonnée. Elle réduit à néant les invitations. Cette violence sans bornes est dévastatrice, car elle est irréfléchie

encourageait les galibots à culbuter les herscheuses, au hasard des coups de reins. Mais, lorsqu'une gaillarde tombait avec un homme par-dessus elle, le piston couvrait leur chute de sa sonnerie enragée, le branle des pieds les roulait, comme si le bal se fût éboulé sur eux. Quelqu'un, en passant, avertit Pierron que sa fille Lydie dormait à la porte, en travers du trottoir. Elle avait bu sa part de la bouteille volée, elle était saoule, et il dut l'emporter à son cou, pendant que Jeanlin et