Bal musette

tenant compte du contexte, des personnages, et des exigences de l'écriture théâtrale, imaginez un monologue dans lequel Silvia ferait l'éloge du mariage de cœur (20 lignes). Acte V, Scène I SILVIA Silvia seule sur scène, se préparant pour un bal donné en l'honneur de la naissance de son enfant. Silvia, seul -Qui l'eu cru que je serais si enchantée de mon mariage avec mon tendre époux? (colle ses mains à son ventre), Moi qui me voyait rester fille jusqu'à la fin de ma tendre existence. Me

le duc a payée pour aller avec lui au bal de Nasi. Celle-ci se fait attendre, quand son frère - Maffio - la voit traverser le jardin. Inquiété par sa fugue, il la poursuit et tombe nez à nez avec le duc, Giomo et Lorenzo. Il leur demande ce que cela signifie. Il les menace de rapporter les faits au duc puis les attaque à l'épée. Rapidement contrôlé, il apprend qu'il s'agit du duc en personne. Ils achètent son silence et repartent. Acte 1 Scène 2 - Le bal masqué des noces A travers les conversations

RESUME – LORENZACCIO, Alfred de MUSSET (1834) ACTE I Acte I, scène 1 Une nuit, dans un jardin de Florence, Lorenzo et Giomo accompagnent Alexandre de Médicis. Ils attendent une belle jeune fille que le duc a payée pour aller avec lui au bal de Nasi. Celle-ci se fait attendre, quand son frère - Maffio - la voit traverser le jardin. Inquiété par sa fugue, il la poursuit et tombe nez à nez avec le duc, Giomo et Lorenzo. Il leur demande ce que cela signifie. Il les menace de rapporter les

Le concept du bal des finissants symbolise le passage vers une autre étape dans la vie d’un adolescent. C’est tout d’abord un fait social car cet événement se déroule, généralement pour tous, vers la fin du mois de juin et ce, dans un endroit chic et de bon goût. Ce phénomène s’explique par les idées préconçues que l’on a pour que cette journée soit à l’image de la royauté! Aussi, le bal des finissants est définit comme étant un fait social car les individus agissent tous de la même manière, propre

amener à des passions fatales. A. Les héros Deux personnages qui se ressemblent et s'attirent, à la ligne 7 il y a un parallélisme dans une perspective romanesque, les deux personnages sont voués à s'aimer. Dans le récit, comme dans la salle de bal, ils sont isolés, ligne 13 « un murmure de louanges » Les deux héros sont passifs, c'est le roi qui organise la rencontre au moment de la danse ligne 6 « lui cria de prendre »et ligne 13 « ils les appelèrent » Comme dans tout processus de fatalité,

le jour de Mardi Gras. Chapitre 12 Elisabeth de Coucy attend Olympe pour la mener à Versailles. Mise au courant du complot, Elisabeth « clio » décide de voir Bontemps, le valet du roi, pour lui en parleri. Olympe devient alors Thalie. Chapitre 13 Bal à la cour, Olympe rencontre les amis d’Elisabeth, Pauline et Silvère, et son fiancé Thomas. Mais Lambert lui aussi est là. Il a encore retrouvé sa trace. Le fils de Colbert, lui aussi, se souvient d’elle. Nos amis se rendent chez Bontemps qui est en

capables d’en relever plusieurs exemples au cour de la lecture attentive et soigneuse. Ainsi, dans le chapitre VIII consacré au bal à la Vaubyessard, l’ironie vise de nouveau Emma et ses rêves romantiques. La jeune femme se retrouve dans le monde dont elle rêve, qu’elle connaît grace à la lecture des romans romantiques effectuée pendant son instruction au couvent. Le bal lui témoigne de l’existance d’une autre vie que la sienne, ce qui approfondi encore l’abandon de l’héroïne. Flaubert marque

» Elle le fait bien sûr pour la cour, l'occasion mais on peut penser aussi qu'elle le fait parce qu'elle va rencontrer un homme : c'est inconsciemment qu'elle s'est préparé ainsi. l.7 : « l'on admira sa beauté et sa parure » 3°) La rencontre au bal La fête commence et il va se faire attendre : il se fait désirer. Cette attente accroît l'impatience de la princesse. Tout de suite, elle reconnaît Mr de Nemours. l.12 : elle « vit un homme qu'elle crut d'abord ne pouvoir être que Mr de Nemours »

Des Plaisirs de l'île enchantée de Versailles sous Louis XIV au petit bal du 14 juillet de nos places publiques, la fête, à l'image de Caranaval, peut prendre toutes les formes, concerner toutes les classes. Louis Molet, dans son Histoire des mœurs, de 1990, tente d'en cerner les principales caractéristiques afin de déterminer les éléments qui provoquent la communion des groupes, ce que fait également le romancier Jules Janin, en 1883, à propos de l'exemple particulier du Carnaval; mais rien n'illustre

thermal ; il eut fait planter de nombreuses décorations fleuries telles que des joncs et des acacias. L’établissement était à ce jour le lieu le plus attractif de toute la région d’Enval. Pour célébrer les 10 ans du Mont-Oriol, Andermatt planifia un bal en prenant soin d’inviter les personnes présentes lors de son inauguration. La salle fut prête 2 heures avant l’arrivée des invités. Elle était gigantesque : il y était installé près de quatre longues tables, une scène relativement espacée pour