Bangui

La victoire à tout prix Les Fennecs sont dans l’obligation de l’emporter aujourd’hui à Bangui face à la république centrafricaine. Un succès d’autant plus obligatoire que les Marocains ont battu hier la Tanzanie à Dar Essalam. Abdelhak Benchikha, va devoir faire face au forfait de nombreux joueurs (Karim Ziani, Karim Matmour, Adlène Guedioura ou Ryad Boudebouz) et devra donc, déjà, marquer de son empreinte tactique, ce premier match pour lui en tant que coach des Verts. Au poste de gardien

PAR LA CEMAC Présenté par: Junior-Loïck MANGONGO Introduction La communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) qui a son siège à Bangui en République centrafricaine, regroupe six (6) pays: Le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée-équatoriale et le Tchad. Le traité instituant cette communauté a été signé le 16 mars 1994 et entré en vigueur

France en 2003 et maintenu face à la montée d’un mouvement rebelle grâce à une intervention conjointe de la France et du Tchad en 2006. Cette fois-ci, la Séléka («Alliance» en sango), mouvement de «rebelles», est parvenu à s’emparer de la capitale Bangui depuis le printemps dernier. La Centrafrique étant justement une ancienne colonie française, le réflexe est ensuite de penser à la sécurité des expatriés ou à des intérêts économiques. Or, le ministère de la Défense le reconnaît: il n'y a finalement

devrait être adoptée aujourd’hui ». En effet, le vote à l’ONU initié par la France a donné lieu à la décision d’envoyer des Casques Bleus en Centrafrique d’ici plusieurs mois. Trois jours plus tard le dimanche 13 octobre, faisant suite à une visite à Bangui lors de laquelle il s’est entretenu près d’une heure avec le président Michel Djotodia et le premier ministre Nicolas Tiangaye, Laurent Fabius le ministre des affaires étrangères a annoncé l’envoi de troupes supplémentaires en Centrafrique. D’après

exécutions sommaires, pillages : la violence a changé de camp. Craignant ces atrocités, les musulmans ont fui vers des villes du nord-ouest comme Bossangoa et Bouca, majoritairement musulmanes de longue date. Des quelque 100 000 musulmans qui vivaient à Bangui, il en reste à peine un millier, le reste ayant fui vers les pays voisins. À moins d'un retournement de plus en plus improbable, la rupture pourrait être irréversible... Depuis leur prise de pouvoir en mars 2013, les milices de la Séléka ont été

politique mais c’est surtout un conflit interconfessionnel. Est-ce nouveau, dans ce pays, cette dimension religieuse du conflit ? Il y a toujours eu des petits problèmes entre communautés. Mais, à ma connaissance, je n’ai jamais vu ou entendu à Bangui, par exemple, que les gens s’entretuaient parce que les uns sont musulmans et les autres chrétiens. C’est assez nouveau. Il y a eu une instrumentalisation de la religion par les chefs politiques à un moment et maintenant que cela commence à dégénérer

1 ACCORD PORTANT REVISION DE L'ACCORD DE BANGUI DU 02 MARS 1977 INSTITUANT UNE ORGANISATION AFRICAINE DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE 2 Le Gouvernement de la République du Bénin, Le Gouvernement du Burkina Faso, Le Gouvernement de la République du Cameroun, Le Gouvernement de la République Centrafricaine, Le Gouvernement de la République du Congo, Le Gouvernement de la République de Côte d'Ivoire, Le Gouvernement de la République Gabonaise, Le Gouvernement de la République de Guinée, Le Gouvernement

Q DÉDICACE É À Mes Parents M. MBA Jean Et Mme WANGOU Julienne, ©MBA NDE Boris, Élève Ingénieur d’Application de la Statistique, 4ème année. Page iQ REMERCIEMENTS É Ce document a été rendu possible grâce à l’apport de plusieurs personnes que je tiens à remercier. Il s’agit de : Dr. Francial Giscard Baudin LIBENGUE DOBELE-KPOKA, Directeur Géné- ral de l’ISSEA et Chef du projet OPAC-AC, pour avoir été bienveillant d’accepter notre demande de stage et l’intérêt porter à notre égard pour le projet OPAC-AC

Tu deviendras toi aussi un nassara Depuis quelques temps, Rombaye nourrit de grands projets pour son fils. Une lettre de l’oncle Hassan, écrite en français précipite sa décision. « Bangui ! Je vais t’inscrire pour la prochaine rentrée scolaire. Quand tu sauras lire et écrire comme Hassan, tu deviendras un ‘’nassara’’, et tu pourras nous aider. » […] Ainsi, il avait décidé que j’irais à l’école ! Je n’en croyais pas mes oreilles ! Et la surprise passée, j’en étais resté tout étourdi d’une

leurs législations. C’est ainsi qu’a été signé le 13 septembre 1962, l’Accord de Libreville portant création de l’Office Africain et Malgache de la Propriété Industrielle (OAMPI), devenu OAPI après le départ de Madagascar, au travers de l’Accord de Bangui de 1977, révisé en 1999. Elle regroupait essentiellement les pays Africains d’expression francophone, alors que les pays Africains d’expression anglophone se sont regroupés au sein de l’Organisation de la Propriété Industrielle de l’Afrique Anglophone