Bataille de Bangui

politique mais c’est surtout un conflit interconfessionnel. Est-ce nouveau, dans ce pays, cette dimension religieuse du conflit ? Il y a toujours eu des petits problèmes entre communautés. Mais, à ma connaissance, je n’ai jamais vu ou entendu à Bangui, par exemple, que les gens s’entretuaient parce que les uns sont musulmans et les autres chrétiens. C’est assez nouveau. Il y a eu une instrumentalisation de la religion par les chefs politiques à un moment et maintenant que cela commence à dégénérer

exécutions sommaires, pillages : la violence a changé de camp. Craignant ces atrocités, les musulmans ont fui vers des villes du nord-ouest comme Bossangoa et Bouca, majoritairement musulmanes de longue date. Des quelque 100 000 musulmans qui vivaient à Bangui, il en reste à peine un millier, le reste ayant fui vers les pays voisins. À moins d'un retournement de plus en plus improbable, la rupture pourrait être irréversible... Depuis leur prise de pouvoir en mars 2013, les milices de la Séléka ont été

........................................................................................................................................................................................................................................... Antoine Bangui LARGEAU, Victor-Emmanuel, 2001, À la naissance du Tchad, 1903-1913, SaintMaur, SEPIA, 325 p. .....................................................................................................................................................

à la communauté tchadienne en Afrique centrale à Bangui, de recruter des volontaires pour former la première branche militaire de la révolution. En réponse à cette demande, ils ont envoyé la liste suivante :- 1. Mollah Hakar Idris. 2. El Hajji Isaac Abdul Hadi. 3. Abdallah Abakar. 4. Banki Bourma. 5. Habib Idris Habib. 6. Youssef Abdul Waheb. 7. Idris Moomen. 8. Idris Moussa. 9. Adam Obeid et d'autres. Le comité de Bangui a compris environ 38 personnes, mais de D'Njamena

sécuritaire, sociopolitique et économique que traversent les préfectures du Mbomou et du Haut-Mbomou. La région comprenant le Mbomou et le Haut-Mbomou de la RCA est située dans la partie sud-est du pays, très éloignée de la capitale de la RCA, Bangui, et a ses limites avec la République démocratique du Congo. Cette région traverse une crise multisectorielle depuis une décennie avec une insécurité grandissante causée par la présence active de la Lord’s Resistance Army (LRA). Cette force incontrôlée

732: Charles Martel arrête les arabes à Poitiers 800: Charlemagne est courronné empereur d'Occident. 1095: Première croisade suite à l'appel du pape Urbain II. 1066: Bataille de Bouvines (Troupes françaises du Roi Philippe-Auguste/Cohalition anglo-germano-flammande dirigé par l'empereur romain germanique Othon IV.) 1214: Bataille de Hastings (Suite au débarquement de Guillaume le Conquérent en Angleterre et débouche sur la mort du roi anglo-saxon Harold II.) Guerre de 100 ans 1346: Défaite

FOMUC. La Communauté économique des Etats d’Afrique centrale (CEEAC), a succédé à la FOMUC le 12 juillet 2008. Le dispositif de l’opération BOALI. Le détachement Boali compte en permanence environ 220 militaires français principalement basés à Bangui. Il est articulé en un état-major, une compagnie d’infanterie et un détachement de soutien (maintenance, administration, santé, prévôté). En vertu des accords de défense et de sécurité liant la France à la RCA et à la demande des autorités centrafricaines

échapper à Rabah, réclame le protectorat français. En 1893, il vainc le Chéhou du Bornou et constitue un vaste empire autour du lac Tchad. Les Français qui convoitaient la région du lac Tchad y envoient 3 colonnes militaires. En avril 1900, Rabah livre bataille à la mission Foureau à Kousseri dans laquelle il périt. Les militaires français tranchèrent sa tête qu’ils emportèrent certainement. Son fils Fadel Allah tenta de poursuivre la lutte, il eut aussi la tête tranchée. Les têtes tranchées de Rabah et

Cameroun ; le Gabon ; la Guinée Equatoriale ; le Congo Brazzaville ; la RCA ; le Tchad.  C’est un espace géographique de 3 million de km2  de plus de 30 millions d’habitants. Cet organisme a vue le jour le 25 Juillet 1999 au sommet de Malabo pour siège Bangui en RCA. Cependant, c’est le 16 Mars 1994 qu’avait été signé le traité qui la constituait à Ndjamena au Tchad. Cette organisme a été crée par rapport à la CEMAC pour palier au bilan insatisfaisant de l’UDEAC. Les objectifs de la CEMAC sont : -La création

indispensable »[5]. Ce propos, encore une fois, d'aucuns le jugeront sans doute excessif. Peut-être, et qu'en savons-nous ! Mais ce qui est sûr, et ce qui le conforte, c'est la déclaration des Évêques d'Afrique centrale qui, réunis du 15 au 18 février 2000 à Bangui, dans le cadre du Conseil permanent de l'Association des Conférences Épiscopales de la région de l'Afrique centrale (ACERAC) regroupant les Épiscopats du Cameroun, de la République Centrafricaine, du Congo-Brazzaville, du Gabon, de la Guinée Équatoriale