Barrage contre le Pacifique

par conséquent, ils sont plus touchés par la mort. La citation suivante va dans ce sens : « il en mourrait tellement qu’on ne les pleurait plus ». Il est de coutume, dans toutes les nations du monde, de pleurer les morts et surtout les enfants. Par contre, dans la plaine, la mort des enfants est tellement chose courante, on a fini par ne plus les pleurer. Pour consolider cette idée, l’auteur a eu recours à l’anaphore : « tellement que ». Ainsi, à travers cette répétition, le nombre d’enfants morts

est le seul espoir pour Joseph et surtout la mère de changer le cours de leur vie. Suzanne est décrite comme une adolescente de dix sept-ans qui n’a comme seul possibilité de trouver un mari fortuné qui puisse permettre à la mère de reconstruire un barrage et à Suzanne de partir de la plaine. Tour à tour elle rencontre des hommes qui la courtisent : M. Jo, Barner, Agosti. M. Jo cherche tout comme Barner une fille vierge (p 72) plus facile à « façonner » et il lui fait des avances, Suzanne refuse malgré

pas sa sœur ca me ferait un plaisir formidable de donner une auto à Joseph… P 103.Il lui avait dit que si elle consentait à faire une petit voyage à la ville avec lui….. P. 107.Une fois Suzanne mariée, M. Jo lui donnerait de quoi reconstruire ses barrages… P. 124.Quoi ? les diamants ? Les diamants. Vous pouvez choirais, vous pouvez toujours choisir… P. 125.Combien elle vaut ?... P. 126 et 127.Regarde, une bague. Vingt mille francs. Et il me l’a donnée… P. 133.Elle était allée cacher la bague. Elle

Le Bourgeois Gentilhomme de la Jour Moderne M. Jourdain- Drake Biker M- Max Biker T-Tyler M: (Au bar) Et puis j’ai bu ma bière! M et T : Hahahaha! T : : Jai mange trois pizzas!! M et T : Hahahahaha! D : Uhh… bonjour. M : Qu’est-ce que vous voulez? D : Je veux joindre ton gang. M et T : (Ils regardent l’un et l’autre) Hahaha. T : Pourquoi? D : Oh umm, je crois que c’est intéressant et cool. M : D’accord, acheté une bière. D : (Achète) mmm, le Pabst, mon préféré. M : Finit la bière

Français Analyse de texte : Un barrage contre le pacifique. (Marguerite Duras) Le passage décrit un quartier riche dans lequel vit la population coloniale. L’endroit est décrit comme un lieu extraordinaire où la propreté y règne. Chaque détaille de la rue est soigneusement entretenue. Le narrateur à travers cette description y fait une critique de cette société. Questions : 1. Relevez les antithèses et l’ironie contenue dans le passage. Antithèses : « des parterres de fleurs faisaient du

Le barrage contre le Pacifique : Cette œuvre paraît en 1950 après Les impudents en 1943 et La vie tranquille en 1944. Les années d’après guerre pendant lesquelles elle est écrite sont un questionnement sur le rôle de la littérature par rapport à l’histoire « Qu’est ce que la littérature ? » de J.P Sartre en 1947. Si les œuvres postérieurs de M. Duras semblent proches du nouveau roman pas son écriture innovante, cette œuvre ci n’est pas représentative d’un mouvement littéraire particulier. Elle

Le cinéma Marguerite Duras, auteur du barrage contre le pacifique, s’est beaucoup intéressée au cinéma. Ainsi le cinéma, en plus d’être sa passion, est devenu son métier. Elle partage cette passion avec le lecteur à travers cet extrait du barrage contre le pacifique. Il s’agit de la première découverte du cinéma par Suzanne, même si l’histoire laisse sous entendre qu’elle y a déjà été. Le narrateur en profite donc pour faire toute une description de l’ambiance du cinéma. Quelle est donc la

Le moment propice à la construction des barrages arriva. Les hommes avaient charrié les rondins depuis la piste jusqu'à la mer et ils s'étaient mis au travail. La mère descendait avec eux à l'aube et revenait le soir en même temps qu'eux. Suzanne et Joseph avaient beaucoup chassé pendant ce temps-là. Ç'avait été pour eux aussi une période d'espoir. Ils croyaient à ce qu'entreprenait leur mère: dès que la récolte serait terminée, ils pourraient faire un long voyage à la ville et d'ici trois ans quitter

avoir versé quelque pot-de-vin,on lui attribue une parcelle incultivable. La mère s'entête à faire désespérément pousser quelque chose sur ces terres stériles. Elle a l'idée de créer un grand barrage qui protégerait ses terres ainsi que celles de ses voisins, des assaults dévastateurs des grandes marées. Le barrage évidemment ne tiendra pas longtemps et c'est ici que Marguerite Duras commence son roman. Joseph a vingt ans, suzanne en a seize. La vie s'écoule misérable au mileu de ces terres putrides

cet océan destructeur, la Mère prend l’initiative de rallier la population avoisinante et de leur proposer la construction d’un barrage visant à protéger les cultures. Pour ce faire, elle hypothèque le bungalow familial, en calculant qu’elle pourrait rembourser facilement le prêt si les cultures n’étaient pas détruites par la marée. Malheureusement pour elle, les barrages qu’ils ont construits ont été rongés par les crabes et n’ont été d’aucun secours lorsque la marée a recommencé à monter. La